Ouvertures - Histoires de Sexe

Ouvertures

... sinon tu vas exhiber tes fesses, ne cours pas sinon tes seins vont ballotter dans tous les sens…

Un jour pourtant mon frère me dit :

— Il faut que je te dise, Elodie, mais promets-moi de ne pas mal le prendre.
— Je t’écoute.
— Eh bien, voilà, lorsque tu es habillée tout va bien, tu es ma sœur et une femme comme les autres. Quand tu es nue, je te trouve très belle mais tu es une naturiste comme les autres et en plus, ma sœur. Je me contrôle de mieux en mieux vis-à-vis d’une belle nana à poil, alors avec toi, cela me semble presque aisé. Mais, lorsque tu es à moitié nue ou à moitié habillée comme là, je ne peux pas aller contre, tu m’excites. Regarde mon slip, il est tout déformé… d’ailleurs si j’en mets un le matin et que je ne descends pas dans la même tenue que toi, c’est pour dissimuler une érection gênante d’un frère pour sa sœur. Je sais qu’étant ton frère, ce n’est pas correct de bander pour sa sœur, mais je n’y peux absolument rien.

Il est vrai que je déambulais sans me préoccuper de mon frère. Lorsque j’étais nue c’était comme à la plage. Par contre en nuisette largement ouverte, ou en sous-vêtements, prenant parfois, sans le vouloir des postures inconvenantes, je le faisais fantasmer. Ainsi en allait-il lorsque je sortais de ma chambre pour le petit déjeuner ou pour aller à la salle de bain ou encore devant la télé. Or mon frère ne restait pas insensible à mon corps qui devenait progressivement celui d’une femme.

— Je te promets, pour que tu sois plus ...

... serein, de m’habiller un peu plus ou un peu moins puisque c’est le milieu qui te pose problème.
— Merci sœurette de le prendre si bien.

Je tins parole, et les autres jours où nos parents nous laissaient la maison, je prenais mon petit déjeuner dans la même tenue qu’au jour de ma naissance, imitée par mon frère qui montrait une réserve parfaite, car, lorsque je jetais un coup d’œil discret à son sexe, celui-ci était au repos absolu.

Nous étions frère et sœur et nous nous comportions exactement comme tels, même s’il semble que ce soit déjà pas mal. Jamais je ne pris en main son sexe, jamais il ne caressa mes seins ou mes fesses ou insinua ne serait-ce un bout de doigt dans mon intimité. Non, nos petits jeux résidaient en des regards (un gentil voyeurisme).

***

Isabelle, Maude, Didier et moi-même étions si enthousiastes de cette première expérience de nudité sur la plage, que nous décidâmes de passer plusieurs semaines dans un camp naturiste en bord de mer.

— Là, nous dit Isabelle, nous pourrons vivre nus 24 h sur 24, sans soucis de nous rhabiller pour quitter la plage ou de rentrer dans nos tentes pour pouvoir se mettre à poil. La liberté totale quoi !
— Tu es déjà allée dans un centre naturiste ? lui demandais-je.
— Oui, enfin, ce ne fut que l’espace d’une journée, donc pas grand-chose. C’était des copains qui y passaient leurs vacances, ils nous invitèrent à venir leur rendre visite… nous nous sommes mis nus donc. Mais je meurs d’envie d’y vivre plusieurs ...