1. Vide-grenier


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, humilié(e), odeurs, BDSM / Fétichisme couche, Oral pénétratio, init, Auteur: Tendrbb, Source: Revebebe

    ... opportunité.
    
    Il n’en est rien ; je ne suis pas encore prêt pour une telle initiative, d’autant que je suis convaincu que sa démarche est de pure praticité.
    
    Elle me donne un gros baiser sur la joue, dont la tendresse est un moment de grâce, puis regarde sa montre.
    
    — Mince, l’heure file ! Je dois y aller.
    
    Elle se lève en rangeant les deux couches dans son sac (où les femmes ont un secret pour y entreposer un nombre si conséquent d’objets).
    
    Je la raccompagne à la porte ; elle s’engouffre dans sa voiture et disparaît rapidement dans la rue.
    
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    Le lendemain, je reçus un texto encore une fois intriguant : « Confortable, le fauteuil ; autant que la couche. Merci encore ! »
    
    « De rien. » Mon message était volontairement neutre. Cette femme commençait à me troubler, et je ne savais quoi faire. Par la suite, ce fut le silence absolu. Je revins à ma première pensée : une démarche purement utilitaire, aucun quiproquo à envisager.
    
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    Un mois vient de se passer.
    
    Mon téléphone sonne ; son nom apparaît sur l’écran.
    
    — Bonjour, c’est Sophie. Tu vas bien ?
    — Bien merci, oui. Euh, et vous, toi ?
    — Bien, merci. Je voulais te dire que j’ai réussi mon exam. J’ai une promo, du coup. Je suis super contente !
    — Bravo, c’est génial. Je suis vraiment content pour toi.
    — Si ça te dit de fêter cela, je t’invite. Demain soir, tu es dispo ?
    — Euh, merci, mais c’est pas nécessaire, tu sais…
    — Si, si, j’insiste.
    — ...
    ... OK, c’est avec plaisir alors.
    
    Au café convenu, je l’aperçois déjà attablée. Je le la rejoins à sa table alors qu’elle me fait de grands signes.
    
    Elle est encore plus épanouie que la dernière fois, souriante et rayonnante. Le succès, sans doute, qui la rend encore plus sexy. À moins que ce soit sa tenue, une veste avec chemisier, une jupe échancrée et de hauts talons. Féminine, comme j’aime. Arrivé à sa hauteur, elle se lève et me serre dans ses bras.
    
    — Comme cela me fait plaisir de te voir ! Désolée pour mon silence, mais je me suis donnée à fond dans mes révisions, et j’ai bien fait.
    — Oui, je comprends. Encore une fois, toutes mes félicitations !
    — Et je te remercie pour les couches, cela m’a été super utile.
    — Vraiment ? Tant mieux !
    — Dès que je suis arrivée chez moi, j’en ai mis une. Je me suis fait un thé, et je l’ai mouillée environ une heure après. Passée la gêne, cela m’a fait bizarre. En fait, j’ai bien aimé.
    — Arrête, tu te moques de moi ?
    — Non, vraiment. Et toi, pourquoi tu ne m’as pas dit aimer en mettre ?
    — Comment… comment as-tu deviné ?
    — Tu viens de me le confirmer, mais quand je t’en ai parlé chez toi, ta gêne n’était pas celle que j’aurais pu attendre d’un incontinent ; plutôt celle d’un petit garçon pris la main dans le sac. Ou dans la couche, devrais-je dire…
    — Euh… je ne sais pas quoi dire.
    — Et là non plus ?
    
    À ce moment-là, elle se déplace sur la banquette en face de moi, remonte sa jupe et décroise ses jambes. Je n’en crois pas mes ...
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