1. Vide-grenier


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, humilié(e), odeurs, BDSM / Fétichisme couche, Oral pénétratio, init, Auteur: Tendrbb, Source: Revebebe

    Le soleil était éclatant ce jour-là, et je me trouvais bien seul au milieu de toutes ces affaires étalées autour de moi, avec ces passants me dévisageant d’un œil scrutateur et prompts à une estimation baissière des vestiges de mon passé.
    
    Tout découlait de mon divorce, prononcé il y a trois mois.
    
    Les couches n’étant pas indifférentes à cette séparation. Mon ex avait accepté cette pratique au début, puis toléré, et enfin trouvé envahissante, qu’elle jugeait au fond d’elle comme déviante.
    
    J’avais donc fait le tri dans mes affaires. Et quand on se lance dans cette démarche, on fait le rangement en se débarrassant du futile et de souvenirs envahissants. Je profitai donc du printemps pour m’inscrire à une brocante de quartier.
    
    Ce matin, levé aux aurores, j’avais pris possession de mon petit espace. Une fois installé, je pus enfin me poser. Un petit siège de camping rendu confortable par laTena plastifiée que j’avais mis une heure auparavant. Je ne pouvais faire sans ce petit plaisir, tant cette journée menaçait d’être solitaire, longue et ennuyeuse.
    
    Je dévissai le thermos de café que je m’étais préparé et m’en servis un petit pour me décontracter. Cette relaxation me conduisit à lâcher les vannes pour humidifier ma douce et intime protection. À ce moment-là je vis arriver un amas de sacs, de cartons. Tout cela reposait sur un équilibre repoussant les lois de la physique, dont la clé de voûte était un diable de déménageur, et au milieu de cette confusion émergeait ...
    ... une femme écrasée par ce volume de fatras.
    
    Dans un grand souffle libératoire, elle laissa tout tomber au sol en lâchant un grand :
    
    — Ouf, enfin arrivée !
    — Oui, bienvenue, lui dis-je, compatissant et un peu honteux du confort de ma situation.
    — Je vous offre un café avant de commencer ?
    — Franchement, ce n’est pas de refus ! me répondit-elle avec un grand sourire tout en s’étirant le dos pour soulager ses lombaires fortement sollicitées.
    
    Je lui tendis un gobelet et nous partageâmes cette boisson que tout matinal sait apprécier comme un réconfort salvateur.
    
    Elle était habillée confort, comme toujours pour ce genre d’exercice où la tenue vestimentaire se doit d’être avant tout fonctionnelle. Pour autant, ses mains étaient soignées. Et surtout elle avait de charmants yeux verts, avec des cheveux châtain-roux du plus bel effet dans cette lumière montante resplendissante. Son visage reflétait une personnalité que le reste de la journée me confirma comme ouverte, sociable, et en même temps discrète.
    
    Une fois cette civilité accomplie, elle dut se remettre à l’ouvrage car les «clients » commençaient à arriver. Mes guillemets seront compris par toute personne ayant fait l’expérience de ces échanges commerciaux où les promeneurs du dimanche se révèlent, quand ils daignent vous adresser la parole, de redoutables prédateurs pour négocier vos effets déjà bien sous-estimés au regard de leur valeur réelle. Mais votre volonté en cet instant est de repartir le plus léger ...
«1234...9»