1. Vide-grenier


    Datte: 14/05/2018, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, humilié(e), odeurs, BDSM / Fétichisme couche, Oral pénétratio, init, Auteur: Tendrbb, Source: Revebebe

    ... l’état de mon postérieur ? En tout cas, sur le moment je me dis que cette fois-ci je garderais ma dignité.
    
    Arrivés dans le salon, elle s’écrie :
    
    — Génial, exactement ce que je cherchais !
    
    Elle se love en y prenant place et mettant ses jambes sur les accoudoirs. Elle me regarde en me disant :
    
    — Il me plaît ; doux et confortable : je prends.
    
    Elle ouvre son sac à main et pose l’enveloppe avec le montant convenu sur la table basse.
    
    — Parfait ; je vais chercher mon diable et on le met dans votre coffre.
    
    On a un peu de mal à trouver le bon angle pour le charger, mais on trouve la solution.
    
    Tous deux un peu essoufflés, je lui propose un verre pour se rafraîchir. On se met sur la terrasse et je reviens avec deux jus d’orange. Elle boit son verre d’un trait.
    
    — Assoiffée ?
    — Oui, j’ai fait pas mal de route et je ne voulais pas être gênée par une envie pressante.
    
    Avant que je ne puisse même rebondir sur son propos, elle enchaîne :
    
    — À ce sujet, je voulais vous demander : pour les couches, il n’y a pas de fuites quand vous en portez en journée ?
    
    Tétanisé par sa question, mon esprit se fige. Elle relance en ne laissant pas à mon trouble le temps de s’installer :
    
    — Oui, je vous explique : je dois passer un examen professionnel déterminant pour la suite de ma carrière, et je voudrais être à l’aise durant cette épreuve et optimiser mon temps sans être obligée de m’absenter.
    
    Ne pouvant me taire davantage, je lui explique alors mon expérience ...
    ... des couches sous l’angle délibérément utilitaire :
    
    — Vous savez, le secret est de bien les attacher pour ne faire qu’un avec les jambes, pour qu’aucun mouvement ne laisse d’espace. Pour les fuites, il faudrait ne pas trop boire avant, mais avoir une bouteille pour se désaltérer pendant l’épreuve. Puis, faire pipi par petits jets pour bien répartir celui-ci sur l’ensemble de la couche. Et si besoin, celle-ci devra bien sûr être enlevée.
    
    Elle boit mes propos, si je puis dire. Je me sens en confiance avec elle. Ce mélange de naturel audacieux et de qualité d’écoute me met à l’aise, à tel point que je me surprends moi-même à dire :
    
    — Je peux vous en proposer pour essayer, si vous le voulez.
    — Merci, je n’osais pas vous le demander.
    
    Je me lève et me dirige vers ma chambre, où j’ouvre mon placard. Sur le moment, je me sens soulagé qu’elle ne soit pas à mes côtés, face à ma collection de paquets de couches et de culottes. Comment pourrait-elle comprendre ce penchant ? Jamais, bien sûr.
    
    Je reviens donc avec deux changes complets de jour. Elle m’attendait, sagement assise. Je m’assois face à elle et les lui tends.
    
    — Je pense que vous saurez vous en servir ; vous n’avez pas dû oublier… dis-je, un peu troublé par la situation singulière.
    — Oui, j’étais l’aînée, et j’ai changé mes deux petits frères. Je vous remercie pour votre gentillesse et vos conseils, me dit-elle, les yeux dans les yeux, à mes côtés, à une proximité que tout un chacun aurait saisie comme une ...
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