1. début de vacances (fiction)


    Datte: 24/05/2021, Catégories: Hardcore, Lesbienne Sexe Interracial Auteur: jeanb69, Source: xHamster

    ... trouver excitante et de vous admirer
    
    — Vous aussi, vous êtes superbe dans votre genre. J’ai rarement vu des seins aussi beaux. J’ai beaucoup envie de les caresser. Vous voulez que je m’en occupe ?
    
    — Si vous me caressez les seins, je ne pourrai plus me contrôler. Vous savez que j’ai envie de vous ? Vous m’excitez terriblement.
    
    — Moi aussi je suis très excitée, à caresser sans vergogne vos jolies fesses. Et je suis d’autant plus excitée que tout le monde nous observe. Vous croyez qu’on voit ça souvent, deux paires de nichons aussi superbes qui s’exhibent ? Redressez-vous, que je puisse encore les admirer !"
    
    A ces mots, Béa s’appuie sur ses coudes. Ses gros seins semblent comme posés sur son torse, tant ils sont gonflés. La jeune négresse s’empare du flacon d’huile solaire, et lui en envoie une longue giclée sur la poitrine. Puis elle commence à étaler l’huile. Anéantie, Béa la laisse faire. Chaque fois que les doigts agiles effleurent ses mamelons, gonflés à en être douloureux,, elle sent une décharge de plaisir descendre jusqu’à son sexe palpitant. Chaque fois que les mains pressent les globes de chair, elle croit défaillir. Elle doit se retenir pour ne pas gémir. Elle s’effraie elle-même de la situation, du spectacle lubrique qu’elles offrent aux autres vacanciers. Mais en même temps elle ne peut s’empêcher d’aller au-devant des caresses de sa compagne, et de souhaiter qu’elles se fassent encore plus intimes. Elle est sur le point de se toucher le sexe quand, ...
    ... dans un dernier instant de lucidité, elle décide d’interrompre le jeu.
    
    " Vous logez loin d’ici ?
    
    — À cinq minutes à pied. Pourquoi ?
    
    — J’ai envie de vous. Cela ne m’est jamais arrivé comme cela, aussi vite, aussi intensément. Je mouille comme une damnée.
    
    — Ca, ça se voit ! Votre string est déjà trempé. C’est particulièrement expressif. Venez, allons chez moi !"
    
    La négresse se relève. Elle est vraiment superbe : silhouette élancée, poitrine insolente, peau luisante. Béa se lève également. Elle découvre en se penchant la tache d’humidité qui décore son string. Son premier réflexe est de renfiler rapidement sa jupe, puis elle se ravise. Pourquoi aurait-elle honte de son désir ? Elle ne se rhabille pas, entasse ses vêtements dans son sac de plage et reste en string, le torse nu.
    
    "Nous y allons ?
    
    — Vous ne vous rhabillez pas ?
    
    — C’est si loin ?
    
    — Non, c’est vraiment à 2 pas.
    
    — Alors, pourquoi cacher mon corps, si vous le trouvez beau ?
    
    — C’est vrai, tout compte fait. Cela sera très excitant d’y aller en string. Tout le monde pourra mater les deux plus jolies nanas de la plage qui vont exhiber leurs nichons."
    
    A ces mots, elle s’approche de Béa, la saisit par la taille, l’attire vers elle et l’embrasse sur les lèvres. Surprise, Béa manque défaillir. Une onde de désir l’envahit. Les lèvres de la négresse sont fraîches et humides, très douces. Sa langue agile s’insinue déjà entre ses lèvres, Béa répond au baiser en lui mordillant la lèvre inférieure ; ...
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