1. Promenons-nous dans le bois


    Datte: 13/05/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, jeu, occasion, nature, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... précipiter vers la rive et échapper à cet horrible cauchemar. Elle est trempée. Ses boucles brunes lui cachent le visage, son chemisier semble moulé sur sa poitrine, dévoilant par transparence le soutien-gorge de dentelle blanche et les disques sombres de ses aréoles et de ses tétons. Quant à sa petite culotte, ce n’est plus qu’un voile translucide qui révèle impudiquement le buisson de poils sombres qui couvre sa petite chatte.
    
    Agnès est furieuse, contre elle-même mais aussi contre son mari qui l’a entraînée dans cette aventure et qui doit sans doute se marrer comme une baleine en l’observant depuis l’autre rive. Comble de malchance, elle a lâché ses souliers et sa jupe dans sa chute. Elle regarde cette dernière s’éloigner au fil du courant. Plutôt mourir que de retourner dans cet infâme bouillon, jure-t-elle en serrant les dents.
    
    Elle hésite. Une partie d’elle-même veut en finir : « Je ne peux pas rentrer comme ça à l’auberge quand même ! » alors qu’une autre refuse de rendre les armes : « Cela lui ferait trop plaisir à ce salaud ! » Et c’est cette dernière qui finit par l’emporter. Heureusement, la rivière coule au bord d’une vaste clairière noyée sous les rayons intenses d’un soleil estival, et cette délicieuse chaleur lui remonte le moral. Elle regarde tout autour d’elle. Même si elle sait que son mari n’est pas loin, elle ne voit personne à l’horizon. Alors, elle retire ses frusques gorgées d’eau qu’elle tord avant de les poser sur les hautes herbes recouvrant ...
    ... la clairière. Puis, elle s’allonge à son tour pour livrer son corps trempé et fatigué aux caresses réparatrices du soleil.
    
    Agnès respire, elle est bien, pour la première fois peut-être depuis qu’André l’a abandonnée au bord de la route. Elle sourit en réalisant que, tapie dans son cocon d’herbes folles, elle a disparu à la vue d’André. Bien fait pour lui, songe-t-elle. S’il veut se rincer l’œil, il faudra bien qu’il approche, ce salaud. Elle ferme les yeux et se laisse emporter par la quiétude paradisiaque de l’endroit. Elle a trente-cinq ans et elle se sent belle. Ses mains caressent son corps brûlant, glissent entre ses cuisses, avant de laisser ses doigts s’enfoncer en elle pour laisser le plaisir prendre peu à peu possession de son corps.
    
    — Euh… Madame… excusez-moi…
    
    Elle se redresse brusquement, une main en travers de la poitrine, qui ne cache pas grand-chose des deux appétissantes mamelles écrasées sous son bras, l’autre aux doigts encore brillants de liqueur, posée sur ses cuisses serrées nerveusement l’une contre l’autre.
    
    L’homme est debout devant elle. Sa silhouette se découpe à contre-jour sur la lumière brillante du soleil, si bien qu’elle n’arrive pas à percevoir ses traits. Comment est-il arrivé là ? Elle n’a pas l’impression de s’être assoupie bien longtemps. Et en plus, il a dû traverser la clairière pour venir jusqu’à elle. André a dû le voir. Elle se dit qu’il va surgir d’un instant à l’autre pour sauver sa damoiselle en détresse. Mais elle a beau ...
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