1. Promenons-nous dans le bois


    Datte: 13/05/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, inconnu, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, jeu, occasion, nature, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... son mari. Tout au long de son périple, elle a entendu des branches craquer, des feuilles s’agiter, sans jamais parvenir à découvrir si c’était le fait d’André ou d’une de ces créatures sylvestres qui hantent ses fantasmes.
    
    Malgré son inconfort, et la douleur brûlante provoquée par les ronces et les orties sur sa peau nue, elle ressent une délicieuse excitation à se savoir épiée, comme une proie prise dans le viseur d’un chasseur. Elle imagine que ce n’est pas André mais un ou même des inconnus qui l’observent, en attendant le moment propice pour la capturer dans leurs filets.
    
    Elle transpire, elle est en nage, elle voudrait être arrivée à l’auberge pour prendre une bonne douche et soigner ses écorchures. Une branche craque derrière elle. Elle sursaute, se retourne brusquement pour ne découvrir que la végétation, sombre et touffue. Elle sourit, glisse sa main sous sa jupe pour recueillir le jus salé qui lui a brusquement inondé la chatte, avant de porter ses doigts brillants à sa bouche.
    
    — Ça c’est pour toi mon petit vieux ! crie-t-elle en regardant tout autour d’elle. Si tu veux y goûter, il va falloir sortir de ta cachette.
    
    Il ne manquait plus que ça, ronchonne-t-elle en découvrant la petite rivière qui lui barre le chemin. Elle fait tout au plus une dizaine de mètres de largeur et ne doit pas être bien profonde, mais s’il y a quelque chose qu’Agnès déteste plus que tout, c’est de mettre les pieds dans ce genre de soupe sombre, vaseuse, envahie d’une dense ...
    ... végétation aquatique au cœur de laquelle doivent certainement se nicher des créatures peu ragoûtantes.
    
    Elle se retourne plusieurs fois. Elle sait qu’elle pourrait l’appeler et qu’il lui viendrait aussitôt en aide, mais cela mettrait fin à leur petit jeu et André lui ferait très certainement payer sa couardise en se moquant d’elle pendant de longues semaines. Elle n’a pas le choix, il faut qu’elle y aille. Tandis qu’elle se débarrasse de ses bas déchirés et de sa mini-jupe pour ne garder que son chemisier et sa petite culotte de coton blanc, elle sent une agréable sensation de plaisir lui traverser le corps en imaginant l’effet de son strip-tease sur ce voyeur qui l’épie, tapi dans la forêt.
    
    Elle avance un pied qui s’enfonce aussitôt dans dix centimètre de vase. L’eau est glacée mais Agnès ne veut pas reculer. Alors, elle progresse, lentement, pas à pas, sa jupe et ses souliers à la main, résistant à la répulsion et à l’angoisse qui lui envahissent le corps et l’esprit tandis que l’eau monte au niveau des genoux, puis des cuisses, jusqu’à venir frôler ses fesses et les lèvres brûlantes de son con. Elle est au milieu de la rivière. Le plus dur est fait, pense-t-elle. Mais pressée par l’envie d’en finir avec cette désagréable expérience, elle se précipite, son pied glisse sur un rocher, et elle disparaît en hurlant dans l’eau sombre et glacée.
    
    Il ne s’est pas passé plus de trois seconde entre le moment où elle s’est étalée et celui où elle a ressurgi des flots pour se ...
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