1. A la découverte de moi-même


    Datte: 20/05/2021, Catégories: fh, extracon, hotel, amour, Oral pénétratio, Auteur: Nath75, Source: Revebebe

    ... vue. Il se leva en me demandant si on pouvait se voir ailleurs qu’ici, pour être à l’aise tous les deux. Je lui répondis que je l’appellerais pour lui donner un jour, une heure, le temps de m’organiser. Il partit en m’embrassant vigoureusement une dernière fois. Je n’avais jamais été aussi proche de l’irréparable, j’avais l’impression que tout mon corps brûlait. Le désir me submergeait.
    
    Tous les jours qui ont suivi cette visite peuvent se résumer à deux choses : une cohabitation forcée avec mon mari et une réflexion intensive sur la façon dont j’allais négocier pour ne pas éveiller doutes et soupçons sur mes rendez-vous secrets qui s’annonçaient. Les situations les plus délicates se déroulaient au lit quand Stéphane avait besoin de se vider. La plupart du temps, j’arrivais à trouver une bonne excuse pour ne pas subir les va-et-vient de sa bite rougeoyante et visqueuse. Maux de tête, irritations répétées, règles avancées ou rallongées : tout y passait. Quand malgré tout, à cour d’excuses, je me laissais prendre plutôt violemment (à force d’attentes), je subissais ses va-et-vient sans dire un mot ni un gémissement. Heureusement pour moi, accaparé par ses propres performances, il ne se rendait même pas compte de mon comportement. Luc commençait à me manquer. Je finis par profiter d’une absence de ma mère pendant l’après-midi du samedi pour organiser chez elle (chez moi comme elle se plaisait à me répéter) notre première vraie rencontre extraconjugale mais aussi le premier ...
    ... gros mensonge à mon mari. La veille, au téléphone, après avoir prévenu Luc, je me suis décidée à tout raconter à ma mère, la seule à connaître tous mes secrets. À 14h, dans cette maison dont l’odeur m’était si familière, j’attendais toute excitée la venue de mon amant. Cinq minutes plus tard, j’étais dans ses bras, nos langues emmêlées, mes mains parcourant son dos large et ferme. Autour d’un café, nous nous sommes raconté notre semaine tout en essayant de résister au regard de l’autre, aux intentions si claires que nous dictaient nos corps échauffés par le désir. Quand nous nous enlaçâmes encore une fois, Luc passa sa main sous mon pull d’été et parcourut les coutures de mon soutien-gorge. Il effleurait ma peau et faisait gonfler ma poitrine. Mes tétons pointaient comme jamais, une chaleur m’envahissait. Je l’embrassais avec ferveur en lui tenant de mes mains la naissance de ses joues.
    
    Reprenant mon souffle, je lui dis qu’on ne pouvait pas aller plus loin ici, que je voulais un endroit qu’à nous pour profiter de lui, de nos corps. Nous sommes mis finalement d’accord pour samedi prochain, à Libourne, l’hôtel continental en face de la gare. Pour éviter de céder à nos envies, il me proposa de me raccompagner maintenant chez moi. L’entraînant une dernière fois contre moi, nous sommes grimpés ensuite dans sa voiture. J’étais électrique, je ne pouvais détacher ma main de la sienne. En arrivant à proximité de ma maison, je fus surprise d’apercevoir la voiture de Stéphane. La ...
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