A la découverte de moi-même
Datte: 20/05/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
Auteur: Nath75, Source: Revebebe
... perdu huit kilos. Ça se voyait et Stéphane commençait à montrer une jalousie maladive quand je m’habillais pour sortir en ville ou pour aller travailler. Les jupes étaient à proscrire, les jeans moulant aussi. Ne parlons pas des décolletés que je laissais dans l’armoire. J’en étais à un point où il m’arrivait de cacher un habit dont j’avais envie dans mon sac et de me changer dans ma voiture à 500 mètres de la maison pour ne pas qu’il le voie. Je m’efforçais également de ne pas penser à Luc pour ne pas craquer et commettre l’irréparable. Pourtant l’idée de composer le numéro de téléphone recopié dans mon agenda me démangea l’esprit et à plusieurs reprises, j’avais bien failli l’appeler, ne serait-ce que pour entendre sa voix. Quand jeudi arriva, j’ai dit à mon mari en rentrant que je sortais retrouver une amie en ville. Il commença par me questionner pour savoir qui c’était, où nous allions, à quelle heure je rentrerais… Obnubilé par ses suspicions, il ne s’aperçut de ma tenue que lorsque j’ai attrapé la poignée de porte pour sortir. Il entra dans une rage que je ne lui connaissais pas et m’ordonna de me changer tout de suite. Énervée, bouillant de l’intérieur, je sortis en lui tournant le dos en claquant la porte. Il resta à l’intérieur et ce fut ma première satisfaction de femme. Emporté par mon courage, je me dis que demain matin, j’allais téléphoner à Luc. J’espérai tout au fond de moi le voir comme la semaine dernière, en fin d’après-midi, j’avais vraiment besoin de ...
... réconfort.
Quand je suis rentrée vers 23h, mon cher mari dormait déjà. Il me laissa donc tranquille ce qui me permit de penser avec envie au lendemain, à celui qui me retournait la tête. Quand je l’ai eu au téléphone, il était ravi de mon appel. Il allait passer à 17h précise chez moi. J’en étais toute excitée. Cela faisait bien trop longtemps qu’un peu de piment n’avait pas agrémenté mon quotidien. Il sonna à l’heure prévue, il m’embrassa sans hésiter à pleine bouche. Collée à lui, je sentais son torse, son bas ventre et une bosse bien dure contre mon ventre, ce mec me plaisait. Doucement, il m’entraîna plus loin au salon et tout en s’embrassant nous nous sommes assis sur le canapé, l’un à côté de l’autre cette fois. Notre étreinte se relâcha et nous entamâmes une discussion que j’appréciais tant. De temps à autre, nous nous donnions un baiser comme deux aimants perpétuellement attirés l’un vers l’autre. Je ne pus m’empêcher de lui décrire ma vie avec Stéphane, en contrepartie il me fit part de sa vie de couple plutôt plate : Anna n’en avait que pour ses enfants. Il se rapprocha plus près de moi et m’enlaça davantage. Il parcourait de ses mains la courbure de mes reins, puis il caressait ma nuque. C’était délicieux. Je me contentais de l’attraper par le cou pour lui rendre en baiser la tendresse qu’il me témoignait. Je fus prise soudain d’une envie d’aller plus loin, mais la peur de tromper mon mari, d’être vue, me stoppa net. J’en fis part à Luc qui respecta mon point de ...