1. A la découverte de moi-même


    Datte: 20/05/2021, Catégories: fh, extracon, hotel, amour, Oral pénétratio, Auteur: Nath75, Source: Revebebe

    Voilà, je m’appelle Nathalie, j’ai 32 ans. Je vis actuellement le bonheur parfait avec un homme depuis maintenant plus deux ans. Ce qui est intéressant de vous raconter ce ne sont pas ces deux dernières années, mais plutôt comment j’en suis arrivée là : un parcours plutôt sinueux et inattendu… Pour cela, remontons sept ans en arrière, le début de mon récit.
    
    Je venais de me marier avec Stéphane. Lui et moi, nous nous sommes rencontrés par l’intermédiaire d’un groupe de copains-copines étudiants que nous formions à l’époque sur Bordeaux. Les soirées et les quelques week-ends que nous avons passés tous ensemble nous ont rapprochés petit à petit. Stéphane n’avait pas un grand charisme, ni un physique de rêve, mais son affection pour moi me touchait et m’attendrissait. Du haut de ses un mètre soixante dix, joueur de football, brun, typé italien, bien intégré dans le groupe, j’ai fini par m’attacher et par sortir avec lui. Peu de temps après, il m’avait confié son envie de trouver le calme, d’avoir un foyer, de fonder une famille et j’avoue qu’à ce moment-là, c’était un peu ce que je cherchais aussi, plus exactement un équilibre dans ma vie post-étudiante. Notre mariage n’a été que la suite logique de notre histoire ; pour moi, c’était un rêve de petite fille qui se réalisait. D’ailleurs je ne réalisais pas vraiment ce qu’il m’arrivait. Nous avons acheté une petite maison après avoir trouvé un boulot. Le groupe d’étudiants n’existait plus, une nouvelle vie commençait. Au début, ...
    ... tout n’allait pas trop mal. Nous n’étions pas trop démonstratifs dans notre vie amoureuse : il était rare que nous nous tenions par la main ou par la taille, les bisous étaient encore plus rares, surtout en « public ». Nous passions souvent pour de bons amis auprès des inconnus et je pensais tout simplement que c’était normal, que c’était notre équilibre. Au lit, Stéphane n’était pas exceptionnel. Je dois dire que, malgré sa tendresse apparente, il me faisait l’amour à la manière d’un joueur qui remonte un terrain de football à toute vitesse lors d’une contre-attaque, essoufflé, le visage rouge. Les préliminaires étaient bâclés et les assauts maladroits de sa langue contre mon clitoris ne faisaient rien d’autre que de me laisser lasse, à attendre la venue de son sexe pour abréger ce moment. D’un physique plutôt rondouillard, un pénis dans la moyenne (un peu moins de quinze centimètres en érection), plutôt fin avec un gland rougeâtre recouvert par un prépuce un peu trop flasque à mon goût, il n’y avait que ses cuisses légèrement musclées qui me faisaient fantasmer. Malheureusement pour moi (et pour lui), ce n’était pas suffisant d’avoir envie de prendre une quelconque initiative au niveau sexuel et c’était même avec dégoût que j’accomplissais, à sa demande, une fellation de son membre dont je trouvais la texture et l’odeur écœurante. Bref, ce que je pensais être un orgasme n’arrivait pas trop souvent et de toute façon, en moins de dix minutes en étant bourrée sans relâche par ...
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