Une fille du quartier. Paris XIIIème
Datte: 20/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jpj, Source: Hds
... géantes du treizième.
La porte de la chambre était restée entre-ouverte. Elle a longuement chanté son bonheur. Puis le gars est venu rejoindre ses copains.
Juste il a dit, elle n’est pas rassasiée et moi je suis vidé.
La fille a passé la tête, sa nudité vaguement cachée par une serviette. Elle a dit, après tout ce qu’il m’a mis, je repasse à la douche. Elle a ajouté à l’adresse des deux gars, et vous vous devriez y passer aussi au lieu de mater les étoiles parisiennes en rien faisant.
En sortant de la douche, elle tenait un gars à chaque main pour les mener à sa chambrette. On voyait bien que si le Bon Dieu lui avait donné deux bras et deux mains, c’était pour la bonne cause.
En traversant le salon elle souriait à la vue du copain assoupi sur le canapé en slip teeshirt. Elle a dit, il a beaucoup donné. Puis elle a fermé la porte en rigolant, faut pas le réveiller, il a réellement besoin de récupérer.
La chambre était obscure, la couette traînait sur le plancher. Le lit était un king size. On voyait que cette fille savait vivre.
Ils étaient allongés tous trois, la fille entre eux.
L’un des deux l’avait prise dans ses bras et la câlinait tendrement, une main par en dessous serrant la taille, l’autre main à parcourir son thorax en effleurant doucement les petits seins de gamine. Ces petits seins qu’il avait pratiqués toute la soirée au bal moulés par le coton mouillé de la robe. Il avait pensé, cette soirée bal de quartier vaut largement les nuits ...
... teeshirt mouillé du Tyf.
Et là sous ses paumes, les tétons se dressaient sur des cupules molles et gonflées. Et la fille ronronnait comme bergère dans sa chaumière. La fille dans ses bras avait peau lisse et douce. Elle sentait les odeurs de douche, de savons. Il imaginait sans la voir sa frimousse encadrée de cheveux fous qu’il avait vue sauter danser et rire au rythme de l’orchestre de Pedro Riviera.
Pour l’heure la fille était contre lui et avait saisi sa pine d’une main et empaumé ses roupes de l’autre. Elle avait dégagé le gland en poussant bas le prépuce et frottait de sa touffe sur la peau sensible. Sa touffe était frisée et douce comme toison d’agneau.
Elle a dit en murmure à son oreille, si tu viens maintenant je te prendrai dans ma bouche. Ainsi tu seras en suivant moins précoce et plus endurant.
C’était son idée de boire l’eau de vie à la source et d’un rapide va et vient sur la hampe en tirant fort les peaux, le nez de la bite plongé dans le soyeux, elle a déclenché l’orgasme, se pliant rapidement pour emboucher le gland avant la première giclée.
Lèvres serrées dans le sillon coronarien, elle flattait de la langue le frein et aspirait en cadence synchrone les pulsions de foutre fluide. Quand la période s’est allongée et que la tige eût retrouvé sa flaccidité normale, elle a fini d’avaler, se rinçant les dents d’une langue de gourmet.
Elle revenue dans ses bras et l’a embrassé. Elle a dit, vois comme c’est bon le goût d’un garçon.
Et puis elle s’est ...