1. Une fille du quartier. Paris XIIIème


    Datte: 20/05/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... érectile.
    
    La fille, elle, se laissait aller au plaisir des caresses et pensait, ce cavalier-là a des mains bien douces et je suis bien aise dans ses bras.
    
    La chaleur sous cette tente était lourde et les corps des jeunes gens se liquéfiaient. On était plus du tout dans la notion de moiteur mais bien plutôt dans celle de ruissellement.
    
    Pour un slow cela convenait encore mais quand Pedro Riviera et ses Pirates ont attaqué la série de rock, l’assemblée dansant les morceaux endiablés était en nage, exsudant les bières précédemment ingurgitées à la buvette.
    
    Le flibustier tenait son rang et n’avait pas lâché sa partenaire laquelle avait trempé la petite robe d’été aux aisselles au poitrail aux fesses. La vie était belle et le cœur de la fille était grand ouvert aux bonheurs de passage.
    
    Ils s’accordaient bien dans le rythme et les passes s’enchaînaient les unes aux autres élégantes de leur accord. Au dernier pas de Rock around the clock il posa genou à terre pour la faire tourner, trois fois quatre fois sans fin et finalement la prendre dans ses bras et biser sa bouche comme point final à l’épopée frénétique de be-bop.
    
    Retour à la table et présentation de deux trois copains rieurs assis derrière leur chope. Mecs sympas, comme lui. Il l’a laissée s’assoir avec eux pour aller quérir des boissons pour tous, au comptoir.
    
    Elle était trempée de chaleur et de danse. Poitrail collé au coton de la robe dessinant ses seins encore pointus des efforts de rock. Et ses ...
    ... fesses sur le banc de bois qu’elle sentait ruisselantes et elle était bien aise que personne ne voit cela.
    
    Bière blonde pour tout le monde. Elle a bu la bière avec les autres, heureuse de se désaltérer. Elle riait aussi du partage.
    
    Son ventre fondait et coulait entre ses cuisses mais elle ne pensait pas sexe mais seulement amitié rencontre.
    
    Les deux copains ont voulu tour à tour la faire danser et elle a dansé. Les morceaux rapides surtout mais aussi les slows langoureux blottie entre les bras des garçons, son corps moite et chaud emballé collé au tissu fin de sa petite robe mouillée.
    
    Les gars étaient mecs bien et ne l’ont pas tripotée. Mais, elle, n’a pas eu cette retenue. Elle se frottait aux paquets avec indécence l’esprit chaviré par sa nudité ignorée des garçons mais qui la taraudait. La fine étoffe et juste sa touffe et la saillie puissante du gars contre elle faisaient dégouliner ses intimités.
    
    Elle savait la chute et n’osait l’imaginer.
    
    Ils n’ont pas parlé et elle les a amenés chez elle vu qu’elle habitait juste à côté. Pas un mot dans l’escalier jusqu’à son étage. Pas un mot non plus pas un rire quand elle a sorti sa clef du petit ourlé en forme de poche.
    
    Ils ont laissé les deux fiancés prendre leur douche ensemble puis filer main dans la main dans la chambre.
    
    Eux ont visité le frigo et squatté des bouteilles de San Pellegrino, eau qui pique, pour les boire assis sur le balcon, les yeux dans les rares étoiles du ciel parisien, entre deux tours ...
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