1. Maintenant ! c’est Moi et le Le Marchant de légumes (3) :


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... Ainsi, j’offrais ma belle terma vierge et mon anus sérré avec impatience. En revenant vers moi, il me dit « hé ! jabat’ha gad gad ! mane 3almak hadha position ? « (hé ! tu est juste ! juste ! mais qui t’a appris cette position ?). Et moi, humblement, « filmate porno ! » (les films porno !) sans lui avouer évidemment, ce que j’avais vu ma femme faire pour mieux gouter ses coups de zob dan sa terma.
    
    Il s’agenouilla derrière moi et commença d’abord par me lécher le sillon et l’anus et essaya de feire entrer un doigt. C’était difficile, quoique ces lècheries m’ont fait frissonner du cul. Alors, il me mit de la vaseline dans l’anus et même un peu à l’intérieur en forçant avec son doigt. Ça me faisait un peu mal mais pas autant quant je faisais mes besoins. Il réussit à faire pénétrer un doigt et commença des vas et viens à l’intérieur. Ça devenait très agréable ces frottis dans mon sphincter.
    
    Il mit ensuite deux doigts, avec un peu plus de vaseline et en forçant. Un moment, j’ai eu une forte douleur sur l’anus, mais j’ai résisté et c’est passé, puis il me masturba avec ses doigts l’intérieur du cul. A un moment, il me dit « ouja3tak ? » (je te fais mal ?) et moi « non ! zid ! douk’houm ! achtar dakhali zébek ! » (non ! continues ! enfonces les ! dépêche toi de me pénétrer par ton zob !).
    
    Alors, il s’arrêta tout en écartant ses deux doigts pour mieux m’ouvrir l’anus. J’ai ressenti comme un léger courant d’air car mon anus doit être déjà assez ouvert. Ensuite, il posa ...
    ... lourdement son zob tout le long du sillon de mes fesses et le frotta plusieurs fois. Ce fut une sensation nouvelle mais très agréable pour moi car son zob était bien gonflé, lourd et doux à la fois, une grosse masse de chair qui me donnait des frissons. « houk ! houk ! ya sahbi ! zebek e’hlou ! » (frotte ! frottes ! mon ami ! ton zeb est si doux !).
    
    Ensuite, il mit son gland entre ses doigts écartés et poussa avec douceur dans mon anus. De mon coté, j’ai essayé de gonfler au maximum mon derrière pour mieux écarter mes fesses et bien ouvrir mon anus. Au début, ce fut un peu douloureux mais comme je restais stoïque et silencieux. Il continua à pousser et petit à petit son gland traversa mon anus. C’était certes encore douloureux mais ô combien merveilleux.
    
    Il m’empoigna encore mieux les hanches avec ses groses mains et me dit « hahou zebi 7al bab qarek ! dhork nazhaou ! » ( voila mon zob a ouvert la porte de ton cul ! maintenant on va s’amuser !). Cette pénétration du gland de son zob, je l’ai ressenti dans tout mon corps avec des frissons de désirs d’un tabou interdit balayé. Enfin, je commençais à ressentir et à gouter une nouvelle forme de liberté totale et merveilleusement agréable. Un zob vient de me pénétrer et même si j’éprouvais une légère honte, je la goutais avec plaisir, avec jouissance.
    
    Et, rapidement, en poussant toujours avec douceur, tout le gros zob pénétra dans mon sphincter. « khlass h’bibi ! haleit’lak teremtek ! zebi ag’3arlak qarek ! wa glissa dakhel ...
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