1. Maintenant ! c’est Moi et le Le Marchant de légumes (3) :


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... ! 3ayla s’péciale ! » (histoire spéciale ! famille spéciale !). et, complètement décomplexé, il ajouta « martak é’skhouna ! mine é’souwat’ha wa mine termet’ha » (ta femme est chaude ! de la chatte et du cul !).
    
    Je n’étais pas gêné du tout car j’avais tout accepté depuis le début. Alors je suis passé à ma requête personnelle. « Rani jeitak thani bach é’dirli e’m’zya ! » (je suis venu te voir pour te demander un service !). Il riait toujours et me dit « bi é’lemzya ! ya h’bibi ! bi é’lemzya ! » ( avec plaisir mon ami ! avec plaisir !). Et moi « marty farhana ki halay’t’ha mine termet ‘ha bi ‘s’houla ! » ( ma femme a été contente car tu lui a ouvert le cul facilement).
    
    Il était surpris mais il me dit doucement « na3am ! ana khabir fi fateh let’rem ! » (en effet ! je suis expert pour ouvrir les culs). Alors je lui demande « Ana chahi e’t’héli teremti bi e’shoula ! » ( moi, je désire que tu m’ouvre ma terma vierge avec facilité ! Il resta bouche bé, alors g’agoutais pour le convaincre « wa é’tchaba3ni neik manha ! kima m’rati ! » ( et que tu me rassasie de sodomies ! comme ma femme !).
    
    Il paraissait sonné, mais il se secoua et repris son grand rire « Zébi fi khedmedkoum ! hatli ! hatli teremtek ya h’bibi ! » (Mon zob est à votre service ! donnes ! donnes moi ta terma mon ami ! ) et avec un clin d’œil complice « e’nike teremek bi zébi lakhchine ! » ( je vais niquer ta terma avec avec mon gros zob ! » et il ajouta avec son gros rire d’affamé « wa jibli martak é’nikoum fi ...
    ... dhouz mine tram’koum ! » (et amènes moi ta femme et je vous niquerais tous les deux par vos terma !).
    
    Il était content et prêt, alors, immédiatement, il ota son pantalon et me montra son zob, que je connaissais et qui était l »gèrement bandé et me dit « chouf zébi ! touil wa khchine ! warini teremtek ! » ‘voici mon zob ! long et gros ! montres moi ton cul !). Prestement, j’enlevais mon pantalon et slip et, lui tournant le dos, je lui offrais mon derrière et mon cul. II s’exclama « ah ! ya h’bibi ! teremtek kbira wa 3aridha ! kima anta3 martak !» (mon ami ! ta terma est grande et large ! comme celle de ta femme !). Je reculais vers lui mon derrière et en me courbant légèrement.
    
    Alors il m’empoigna les hanches, puis me caressa et me malaxa les fesses et mis son visage sur le sillon de mon cul et j’ai senti sa respiration sur mon anus. « zébi ! ch’7al teremtek malssa ! bla zakba wahda ! » (zébi ! comme ta terma est lisse ! sans aucun poil !) et, me léchant le sillon et l’anus, il ajouta « 3andék terema ekh’china ou em’lahma ! kheir mine martak ! » ( tu as une belle terma large et souple mieux que ta femme !) et poussant son doigt dans mon anus « bessah qarek é’mzaira ! lazem e’n’hélou’ha bil vazline ! » (mais ton cul est très serré ! on doit l’ouvrir avec l’aide de la vaseline).
    
    Il se leva pour aller chercher le necessire et moi, en connaisseur, j’ai pris position sur le lit, poitrine sur les draps et le derrière haut soulevé, les jambes et cuisses largement écartées. ...
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