1. Maintenant ! c’est Moi et le Le Marchant de légumes (3) :


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Noura, Source: Hds

    Le vendredi et le week end suivant, le scénario fut le même et ma femme profita au maximum des capacités sexuelles du black et moi du spectacle par la fenêtre. Et chaque fois, je me masturbais et grâce à la vue du gros zob du black à l’œuvre dans ma femme et à mes vas et viens de mon doigt dans mon cul, j’arrivais à bien éjaculer une forte dose de sperme sur le mur de la caravane.
    
    Le lundi, notre hôtesse nous informa que nous sommes tous invités, mercredi, jeudi et vendredi prochains chez sa sœur, dans la capitale, pour une grande fête familiale. Nous devons y aller avec la voiture de nos hôtes et nous devons y assister coute que coute. D’autant plus que notre retour au bled était prévu pour le début de la semaine suivante.
    
    Pour ma femme, il fallait se rassasier de plaisirs charnels avec son black durant ces deux jours et il lui restera aussi le denier week end avant le grand départ au bled. Mais pour mes projets personnels, le temps est trop serré. Si je dois gouter le dépucelage et l’initiation à la sodomie de ma terma, il faut le faire ce lundi ou le lendemain mardi. Pendant la nuit, j’ai réfléchis et dressé un plan.
    
    Le lendemain, lundi après-midi, j’ai espionné et suivi ma femme jusqu’à son entrée dans la caravane de son amant black. Puis je suis allé vers la caravane du jeune marchant Algerien. Dès que j’ai cogné la porte, il m’a ouvert et toujours torse nu et poilu. Je lui ai dit que j’avais un message personnel pour lui, d’un ami commun. Nous sommes alors ...
    ... entrés et j’ai pris la chaise et lui s’est assis sur son lit.
    
    Il me regardait avec curiosité mais il ne me connaissait pas. Immédiatement, j’ai attaqué, en arabe. « al mar’a éli djik koula youm raha ém’ridha hadha é’s’mana » (la femme qui vient chez toi chaque jour est malade cette semaine). Très étonné, il m’a regardé avec encore plus d’attention et il m’a dit « m’né’n ta3rafha anta ? » (Comment tu la connais ?).
    
    Alors, très rapidement, sans lui laisser le temps de trop réagir, et sans état d’âme, je lui ai avoué notre situation. Mariés dans l’ancienne tradition sexuelle bloquée depuis trente ans, ayant des enfants et des petits enfants, nous ne faisions plus l’amour depuis ces longues dernières années.
    
    Profitant de notre voyage à l’étranger, j’ai donné à ma femme sa liberté totale sexuelle et ils en ont profité agréablement tous les deux, durant ces deux semaines. Elle est malade et ne viendra qu’après guérison. Je l’ai remercié car ma femme a eu beaucoup de plaisir et d’orgasmes et surtout de l’avoir dépuclé et initié du cul. Presque hébété, il continuait à me regarder sans mot dire.
    
    Je restais silencieux un moment, alors il a repris ses esprits et m’a dit « hadhik martak ! wa b’3athat’hali é’nikha ! mine soua’t’ha wa mine termet’ha ! » (C’était ta femme ! et tu me l’avais envoyé pour la baiser ! de sa chatte et de sa terma !). J’ai fais oui de la tête et avec un sourire complice.
    
    Alors, il éclata d’un rire sonore et se tapant sur les cuisses, « Hikaya s’péciale ...
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