Le bon vieux temps - Histoires de Sexe

Le bon vieux temps

... Catherine est à côté du mien. Isabelle est sur un canapé, entre Alain et Bruno, chacun une main sur un de ses genoux, sa jupe étant relevée à mi-cuisses. Épanouie, elle interroge :

— Catherine, dis-nous ce que tu as prévu pour cet après-midi.
— Eh bien, répond-elle en élevant la voix pour que tout le monde l’entende, nous irons dans la salle de billard, afin de punir ceux et celles qui le méritent. S’ils veulent échapper à la punition, ils peuvent nous quitter tout de suite… Pas de départ anticipé ?.. Voyons, commençons par celle qui a écrit qu’elle trouvait le garçon « à son goût ». Corinne, pourquoi lui avoir caché que nous avions tout bonnement tiré au sort ?
— Parce j’ai voulu lui faire plaisir. Et… il me plaisait pour de bon !
— C’est flatteur pour Thierry mais nous devons nous amuser, sans y mettre de sentiment.
— Tu serais jalouse, toi ? D’ailleurs, il ne s’agit pas de sentiment ! J’avais bien le droit de lui dire, quand même, qu’il me plaisait !
— On vote ! Qui est pour punir Corinne ? poursuit Catherine.

Une main se lève, celle d’Alain. C’est la seule.

— Tiens, Alain ! Tu veux donc qu’on punisse ta douce moitié… Comment ?
— Qu’on la fesse ! Nous tous !
— Cul nu ?
— Évidemment.
— Bon… Il y a aussi celle qui a inventé qu’elle était obligée d’obéir. Voyons, Chantal, pourquoi as-tu écrit cela ?
— Parce que mon partenaire ne me proposait que de petit-déjeuner avec lui !

Éclat de rire général, et je me sens rougir.

— Il s’agit de Bernard. Alors, ...

... c’est lui qu’il faut punir ? demande Catherine.
— Oui ! clame Isabelle, pliée de rire. Qu’on le fesse lui aussi, cul nu !
— Bon… Mais Chantal ?
— Qu’on la fesse également, demande Jean-Luc.
— Décidément, entre les couples, c’est l’amour vache aujourd’hui, constate Catherine… Ça vous ferait trop plaisir, sadiques, qu’on les fesse ! Vous les punirez en privé, si ça vous chante… Bon, il reste celui qui a demandé à sa partenaire du matin si c’était elle qui était venue le rejoindre pendant la nuit, et elle a répondu :
— Oui, mon chéri . Alain et Isabelle, qu’avez-vous à dire pour votre défense ?.. Rien, bien sûr, vous êtes impardonnables. Il était entendu que les garçons ne devaient pas savoir qui leur avait rendu visite cette nuit. Allons dans la salle de billard.

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— Nous allons vous caresser, leur annonce Catherine, vous exciter et vous ne jouirez pas. Ce sera votre punition. Nous, les filles, nous nous occuperons d’Alain, et vous, les garçons, d’Isabelle. Alain, déshabille-toi.
— Complètement ?
— Naturellement ! Et allonge-toi sur le billard… Allez, les filles, il est à nous mais attention, il ne doit absolument pas jouir !

Caresses sur ses cuisses, son ventre, frôlements partout, petits bisous sur ses tétons, pichenettes sur son sexe très vite vertical alors que ses bourses sont palpées… Chantal, Corinne et Catherine s’amusent beaucoup. Nadine reste à l’écart, Isabelle aussi, en se mordant les lèvres.

— Ça bouge, ça roule tout doucement là-dedans, ...