1. Le bon vieux temps


    Datte: 13/05/2018, Catégories: fh, grp, jeunes, couple, extracon, copains, plage, hotel, intermast, Oral pénétratio, échange, jeu, attache, nostalgie, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... Quelqu’un est entré et s’approche du lit. Une main cherche mon pénis, l’enserre, le masturbe dans le plus profond silence. Puis s’en va. Je suis de nouveau seul, mais désormais je bande ! Pas assez au gré de ma visiteuse ?
    
    Ça chuchote dans le couloir, ça rit. La porte s’ouvre une fois de plus. Des mains touchent ma poitrine, frôlent mes cuisses, palpent mon pénis dur comme du bois. Un léger courant d’air me fait comprendre que la fille quitte son peignoir et le laisse tomber sur la moquette. Elle grimpe sur le lit, se déplace de manière à avoir les genoux contre mes hanches et commence à s’empaler, sans dire un mot.
    
    Le rythme de ses va-et-vient se cale sur celui de la chanson pendant quelques minutes puis il ralentit et la fille se soulève, libérant mon sexe encore solidement bandé car je n’ai pas joui. Elle non plus, de toute évidence. Elle descend du lit, remet son peignoir dont un pan vient frôler ma jambe, et s’en va.
    
    Pourquoi est-elle partie ? J’attends, j’attends… Ah, la porte s’ouvre enfin ! Et la lumière s’allume, éblouissante.
    
    — Ça va, mon chéri ? Tiens, tu bandes encore !
    
    Je ne réponds pas. Isabelle va dans la salle de bain dont elle néglige de fermer la porte. Je la vois quitter son peignoir pour aller sous la douche en chantonnant…Je vais, je vais et je viens…
    
    — On ne se débarrasse pas facilement de cet air, dit-elle en venant vers moi tout en essuyant ses seins et son entrejambe.Je vais, je vais et je viens… Elle a cinq ou six ans, cette ...
    ... chanson, n’est-ce pas ?
    — Tu vas quand même me détacher, maintenant, je suppose ?
    — Mais bien sûr, mon chéri !
    
    xxxXXXxxx
    
    — Il est neuf heures, debout !
    
    C’était la voix de Catherine au téléphone. Elle a raccroché aussitôt.
    
    — Je vais chercher le petit déjeuner, dit Isabelle en s’étirant.
    — Non, je vais y aller, moi.
    — Pas question ! Ce sont les filles qui s’en occupent. Ordre de Catherine !
    — Ah bon…
    
    Elle se lève, tire le rideau et tourne la manivelle qui, en grinçant, fait remonter le volet roulant. Beau soleil rougeâtre de septembre. Elle est en nuisette courte et transparente, plus désirable que si elle était nue. Après sa légère toilette qui suit l’amour, elle prend toujours une nuisette que j’adore.
    
    — À tout à l’heure, mon petit chéri.
    
    Elle met son peignoir rose et s’en va. Je l’attends, couché sur le dos, pacha tout nu, les mains sous la nuque. Je ne lui reparlerai pas de ce qui s’est passé hier soir. Je lui ai fait l’amour avec rage, après. Elle m’a dit : « Vide-toi en moi ! ». Jamais elle ne m’avait dit cela. Ah, la voici qui revient !
    
    Non, c’est Chantal, qui a dû se tromper de chambre. Elle s’avance vers moi, pourtant. Pose en souriant le plateau sur le lit. Regarde mon bas-ventre, avec comme une moue de déception. Bien sûr, je ne bande pas… pas encore.
    
    — Chantal ! Quelle bonne surprise !
    
    Elle place un doigt devant ses lèvres et me montre un papier et un stylo posés sur le plateau.
    
    Ma première idée est de demander où est Isabelle, mais ce ...
«12...456...9»