1. Suite et fin de la soirée chez les Depaires


    Datte: 18/05/2021, Catégories: f, ff, 2couples, photofilm, Masturbation intermast, facial, Oral pénétratio, Partouze / Groupe entrecoup, Auteur: Xuodid, Source: Revebebe

    ... malmenée, et Marc m’a foutu la trouille. Même le doux contact des laines vaporeuses me dégoûterait presque en raison de leur rôle dans tout cela. À la salle de bain, je m’arrange au mieux pour ne pas montrer mon désarroi. Je commence à tout remballer. Daniel arrive. Presque comme surpris, il me dit froidement :
    
    — Tu pars déjà ?
    
    Je ne réponds pas.
    
    — Laisse tout ce qui est déballé, je te l’achète. C’est combien ?
    
    Je prends la liste dans mon sac et fais le calcul. La somme est rondelette : il y a cinq pulls et cardigans, deux robes, deux paires de gants, un poncho, une étole et deux grandes écharpes. Sans rechigner, Daniel fait le chèque largement arrondi à la somme supérieure. J’aurais préféré le montant exact et un sourire, un mot gentil ; en vain. Ève dort encore.
    
    Je prends la route qui descend, la gorge serrée ; les sanglots ne tardent pas… Pourtant, il fait si beau, et un début de vent d’autan remonte vite la température. Je pleure à grandes eaux maintenant. Heureusement, la route est déserte. Je m’arrête sous un pin parasol. Je me mouche, essuie mes larmes.« Allez, ma fille, t’as bien joui hier soir, et fait – pour une fois – une belle vente. Demain, tu feras un test. »
    
    Huit jours ont passé.
    
    — Vous êtes négative, m’a dit le laborantin du ton méprisant de celui qui juge.
    
    Au courrier de la boutique, j’ai reçu un paquet avec les photos et la cassette vidéo de la soirée, accompagnées d’un petit mot gentil ...
    ... d’Ève qui regrette de ne pas s’être levée assez tôt pour me dire au revoir. Ce soir, chez moi, je regarde les photos. Elles sont belles : lumière, netteté, je ne me suis jamais vue aussi en avantage. Je suis au lit, dans mon chaud pyjama en angora, je les regarde dans l’ordre. Je sens l’excitation me gagner. Je passe de l’une à l’autre en caressant mes cuisses gainées de la plus fine et douce laine de lapin angora. Les images sont de plus en plus explicites. Marc est un pro qui sait capter le moment des poses les plus alanguies, et le porno devient beau. Les gros plans m’excitent beaucoup sous des angles que je ne pourrais voir moi-même, mes petites et grandes lèvres s’écartant ou se refermant selon la pénétration d’une verge enflée, d’une langue ou de doigts. Mon clitoris qui roule sous les caresses disparaît dans une succion. Ma bouche devant le satin du gland de Daniel ou goûtant le rouge à lèvres d’Ève… La volupté des laines vaporeuses en contre-éclairage sur des seins, des fesses, de fiers gourdins ou de délicates rondelles tout en caresses…
    
    Je démarre la cassette tout en saisissant mon vibromasseur. Du haut de gamme, en inox, deux vitesses de vibrations, fin et long comme une fusée pour m’envoyer au ciel. Je le réchauffe dans ma bouche puis, enclenchant le vibreur, titille longuement la pointe de mes seins. Je baisse mon pantalon si caressant pour accéder à ma vallée toute en moiteur tropicale de ce que je vois à l’écran… 
«12345»