1. L'origine


    Datte: 17/05/2021, Catégories: fh, jeunes, inconnu, campagne, pénétratio, init, aventure, fantastiqu, Auteur: Lise-Elise, Source: Revebebe

    ... capturée pour m’offrir en sacrifice au Dieu Père. J’ai réussi à leur échapper, mais ils sont à ma poursuite.
    — Je te cacherai.
    — Tu peux faire bien mieux. Je ne les intéresse que tant que je suis vierge. Si je perds mon pucelage, alors ils cesseront de me poursuivre.
    
    Elle suspendit son récit, attendant une réaction du jeune homme. Réaction qui ne vint pas.
    
    — Tu vas m’aider ?
    
    Elle sentit la panique la gagner.
    
    — Oui. Bien sûr.
    
    Il ne bougeait toujours pas. Elle pensait pourtant avoir fait ce qu’il fallait dans la clairière. Par acquis de conscience, elle tira sur les pans de sa tunique qui dévoilèrent aussitôt quelques poils blonds. Le jeune homme eut un geste, comme pour caresser, qu’il suspendit. Thyris fut soudain prise d’un doute.
    
    — Tu sais ce que c’est qu’une pucelle ?
    — Oui. Une jeune fille.
    — Tu sais la différence avec une femme ?
    — Elles ne sont pas mariées.
    — T’es un vrai puceau, toi.
    
    Fyrag ne comprit pas ce qu’elle voulait dire par là, mais il se sentit vaguement insulté.
    
    — Bon, pas le temps de t’expliquer. Ils ne doivent pas être loin.
    
    La jeune femme dénoua sa ceinture et se retrouva nue le temps de se lever.
    
    — Déshabille-toi aussi, je vais te montrer.
    
    Fyrag, rougissant comme une rosière, s’exécuta. La jeune femme prit doucement les mains que le jeune homme avait plaquées sur son sexe, pour les poser sur ses seins. La sensation agréable que le jeune homme avait ressentie revint avec plus de force encore. La bouche de Thyris se ...
    ... posa sur sa bouche. Il osa déplacer ses mains et caressa le corps juvénile, d’abord timidement, puis avec plus d’assurance. Thyris lui maintenait la tête d’une main, et de l’autre lui pelotait les fesses. Les sensations étaient si nouvelles, si agréables, que le jeune homme ne se contrôla pas. Sa semence éclaboussa le ventre de Thyris et celle-ci poussa un juron.
    
    Penaud, le jeune homme ne sut que dire ou faire. Il lui semblait bien qu’il avait fait une bêtise, mais il n’aurait su dire laquelle. Thyris s’était essuyé le ventre avec l’une de ses écharpes et le regardait sans aménité. L’air perdu du garçon, la peau lisse et douce, presque imberbe, et la jolie courbe des fesses lui rendirent espoir. Il était si jeune. Le faire rebander serait l’affaire d’un instant. Elle s’assit en tailleur, sa petite chatte gentiment entourée de poils blonds bien visible et ouverte, et sourit.
    
    Elle fit signe au jeune homme de s’approcher.
    
    — Viens m’embrasser… plus bas, plus bas encore, encore plus bas.
    
    Le garçon embrassa les lèvres de la jeune femme, glissa dans son cou, agaça un téton, lécha le ventre et se retrouva nez à nez avec le clitoris. Les senteurs inconnues lui parurent ineffables et il n’eut de cesse de goûter. Thyris avait basculé sur le dos et savourait cette caresse qui lui était familière.
    
    Quand elle sentit, à la pression des mains du jeune homme, que celui-ci devait avoir repris de la vigueur, elle attira doucement sa tête à elle et l’embrassa. Contre sa cuisse, le ...