1. Initiation aux hommes


    Datte: 13/05/2018, Catégories: hh, hplusag, jeunes, oncletante, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral hsodo, init, confession, oncle, Gay Auteur: Discrétion et élégance, Source: Revebebe

    ... naturellement les muscles s’apprivoiser, et c’est lui qui, d’une longue, profonde et lente houle, entame un mouvement qui entraîne l’entrée et la sortie de mon sexe.
    
    J’ai l’impression de retrouver les sensations de la pénétration d’une jeune prostituée thaïlandaise du même âge, dont j’avais acheté les faveurs lors d’un voyage en Asie du Sud-est. Le même coulissement annelé, la même pression autour de mon sexe.
    
    Je prends la baguette du chef d’orchestre et cadence maintenant les pénétrations. De plus en plus profondes, de plus en plus rapides.
    
    Loïs a accéléré sa masturbation. Sous mes yeux, je vois son sexe astiqué avec une violence qui m’étonne. Sous ses allures androgynes de garçon réservé, il laisse apparaître une vigueur insoupçonnée.
    
    — Oh oui, c’est bon, encore, plus profond, bientôt, ensemble. Oui, ensemble… Je vais jouir, allez, lâche-moi tout dans le ventre.
    
    Le décalage entre son aspect habituel plutôt frêle et réservé et ses paroles décuple ma jouissance.
    
    — Oui, maintenant.
    
    Au moment où je vois sa main se crisper sur son sexe et un arc de sperme nacré jaillir du méat dilaté, je jouis dans ses entrailles tièdes et dilatées, comme jamais je crois je n’avais joui. Les pulsations de mon sexe sont sans fin. Le ventre soudé à ses fesses, je me répands ...
    ... en longs jets provoquant chez le jeune homme une crispation du ventre et du bassin qui écrase littéralement mon sexe, comme pour en exprimer les dernières gouttes de liquide séminal.
    
    Nous nous abattons l’un sur l’autre tout en restant emboîtés. Nos bouches se cherchent sans pudeur, nos lèvres se scellent, nos langues s’épousent dans une union baveuse.
    
    Nous sommes restés sans un mot plusieurs minutes, laissant nos corps s’apaiser. Une forme de culpabilité commençait à s’insinuer lentement…Post coïtum homme triste. J’en étais à tenter de freiner la montée de ces remords quand, toujours sans un mot, les yeux fermés mais avec une audace qui me surprit, Loïs prit les rênes. Désencastré et m’ayant poussé lentement mais fermement sur le ventre, il se glissa derrière moi. Ses mains se posèrent sur mes hanches et me forcèrent avec une inexorable et ferme douceur à me mettre à quatre pattes et à creuser les reins.
    
    La nuit fut l’occasion de plus d’une révélation. À plusieurs reprises, je reçus son jeune sexe avec un plaisir que je n’arrive toujours pas à m’avouer. Cette nuit fut suivie d’une autre, et pendant quinze jours nous fûmes des amants insatiables.
    
    Ma femme est rentrée, Loïs a trouvé une chambre de bonne sur Paris, et je me suis mis à la photo. Allez savoir pourquoi. 
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