1. Initiation aux hommes


    Datte: 13/05/2018, Catégories: hh, hplusag, jeunes, oncletante, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral hsodo, init, confession, oncle, Gay Auteur: Discrétion et élégance, Source: Revebebe

    ... Le ventre est plat et en dessous des os qui marquent le bassin étroit, une couronne de poils châtains très clairs et un sexe pâle, long et légèrement bandé.
    
    Sa main gauche descend le long de son torse en l’effleurant avec douceur, avant de contourner le sexe qui repose sur son ventre et de se glisser sous les lourds testicules qu’il soulève de sa paume en coupe. Pendant de longues minutes, il joue avec ses bourses et son sexe, les caressant, les flattant. Son sexe fin et long durcit lentement quand il l’empoigne et décalotte le gland, qui se révèle rose, oblong.
    
    Je ne sais pas ce qui m’arrive, mais je suis profondément excité. Il aura fallu autant de temps pour qu’un tel spectacle me fasse découvrir un pan enfoui de mes fantasmes ? Ce n’est pas possible. Autant d’années d’hétérosexualité bien ordonnée, et me voilà observant à travers une fenêtre mon neveu d’à peine plus de dix-huit ans en train de se caresser.
    
    Cette révélation ne me gêne pas autant que je l’aurais cru. Au contraire, à ma grande surprise, je découvre avec ravissement et excitation un plaisir nouveau.
    
    J’observe pendant de longues minutes sa main descendre et remonter le long de sa tige tendue. Les images les plus nouvelles se bousculent dans mon esprit. J’imagine des bouches, ma bouche, des mains, ma main, pétrir la chair tendue, avaler le gland rose… Que se passe-t-il ? Je sens une boule se nouer au creux de mon ventre et de mes reins. Ce nœud du désir, je le connais et je sais que je suis ...
    ... habituellement incapable de le maîtriser. Tout le reste se déroule comme dans un rêve. Oubliées les convenances, les règles, la bienséance, l’hétérosexualité…
    
    Je quitte mon observatoire et sors de ma chambre. En quelques secondes, je me retrouve devant la porte close. Sans réfléchir ni frapper, je la pousse. Dans la demi-obscurité que seule la lampe de chevet éclaire, Loïs n’a pas entendu mon entrée et continue ses caresses. Les yeux fermés, le casque sur les oreilles, il se masturbe lentement d’une main, tandis que l’autre caresse le papier glacé sur lequel est couché un jeune athlète. Un sixième sens ou un mouvement de ma part l’avertit d’une présence.
    
    Les longs cils s’ouvrent sur des yeux effarés. Son visage prend une teinte cramoisie. D’un mouvement brusque il arrache le casque de sa tête et se tourne vers le mur pour cacher son sexe. D’une main il tire désespérément sur les draps pour s’en cacher. Ce mouvement me laisse pendant plusieurs secondes le loisir d’observer ses petites fesses pâles et frémissantes.
    
    Le voilà à moitié couvert. Il ne bouge plus, comme s’il était endormi.
    
    Cette vaine tentative de dissimulation ne trompe personne et, j’en suis sûr, lui encore moins. Son dos et ses épaules sont encore agités d’un frémissement fébrile, il tente de calmer sa respiration.
    
    Je fais le tour du lit et viens m’asseoir sur les draps à côté de lui. La longue frange recouvre son visage. Sans un mot je ramasse l’un des livres qui est tombé sur le parquet et le feuillette. ...
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