Soirée sensuelle pour soumise sexuelle
Datte: 17/05/2021,
Catégories:
fhh,
fsoumise,
hdomine,
Oral
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
jeu,
aliments,
fouetfesse,
couple+h,
fsoumisah,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... jeu.
Durant la conversation, Monsieur jette un coup d’œil sur la feuille de Maître. Découvrant le gage, il plisse des yeux :
— Ah oui, quand même !
— Je reconnais que j’avais écrit ça pour remplir cette case, par pur amusement. Le hasard fait parfois bien les choses…
— Puis-je connaître mon gage, Maître ?
— Pas de problème ; je vais te l’expliquer avec un peu plus de détails que le style télégraphique de la note : tu retires impudiquement ton rosebud devant nous ; j’en profite pour investir la place ainsi libérée que je me fais un plaisir de remplir, puis une fois mon transvasement fini, tu replaces le rosebud à sa place.
Un bref silence ; c’est Monsieur qui parle le premier :
— Il n’y a pas à dire, dit ainsi, ça fait nettement mieux !
— Souvent, c’est une question de présentation, Marc.
— Je l’aurais dit plus crument, je le reconnais…
— Ah bon ? Et comment ?
— Permettez-moi de ne rien dire, ça gâcherait les choses…
Je m’agite un peu, me dandinant sur place. Voyant mon manège, Maître me donne la parole :
— Tu veux dire quelque chose ?
— Merci, Maître. En clair, je sers de bouteille, si j’ai bien compris ?
— C’est une autre façon de le dire de façon assez éthérée…
— Comment voulez-vous que je me positionne ?
Monsieur intervient en chuchotant, mais comme mon ouïe est bonne, je l’entends :
— Elle va le faire ? Vraiment ?
— C’est une soumise, n’oubliez pas. Très bien, Bouteille. Agenouille-toi de dos sur les deux poufs rouges, jambes assez ...
... écartées. Et place une chaise devant toi pour pourvoir te mettre en appui avec tes bras dessus.
— Bien, Maître.
Peu après, je suis en position sur les deux poufs, mes fesses vers les hommes, à présent installés dans le canapé. Je me penche, offrant le rosebud à leurs regards, un bras sur l’assise de la chaise. J’espère ne pas me casser la figure !
— Tu peux y aller !
— Oui, Maître…
De ma main libre, j’agrippe la rondelle du rosebud et j’essaie de tirer dessus pour extirper ce gros objet de mon fondement. Mais celui-ci résiste ! Il faut dire que ça n’a pas été évident de le loger là ! Je souffle un bon coup et je recommence. Je sens nettement l’engin coulisser en moi, mais toujours impossible qu’il sorte !
— Tu veux de l’aide ?
— Je vais y arriver, Maître. Merci pour l’aide…
Après deux autres tentatives, enfin, le rosebud s’extirpe de l’étroit canal dans lequel il était calé. Le moins que je puisse dire, c’est que je l’ai senti passer ! On me l’enlève des mains, mon Maître sans doute. Je l’entends le poser sur la table. Monsieur s’exclame :
— C’est assez impressionnant ! Belle taille !
— Prenez-le en main, vous verrez qu’il pèse son poids.
— Oui… en effet !
— Il est étonnamment propre, Bouteille. Tu as fait un lavement ?
— Oui, Maître, deux même…
Je ne pouvais pas me permettre la honte de laisser des traces incongrues sur ce rosebud devant notre invité ! Soudain, je sens que s’introduit en moi quelque chose de plus mou et de chaud. Je reconnais sans ...