Soirée sensuelle pour soumise sexuelle - Histoires de Sexe

Soirée sensuelle pour soumise sexuelle

... des conséquences fâcheuses pour celui que j’ai en bouche !

Monsieur est aux anges ! Moi, je m’applique du mieux que je peux, et il a l’air de beaucoup apprécier. Il serre même les poings et les dents. Soudain, il repousse ma tête. Intriguée, je reste suspendue ; Maître questionne :

— Un souci ?
— C’est trop… je ne vais pas tenir longtemps à ce tarif, elle est trop douée !

S’approchant de lui, Maître, martinet en main, demande :

— C’est pourtant le but… Vous savez néanmoins récupérer assez vite, non ?
— Oui, oui… Pourquoi ?
— Cette petite chienne fait son possible pour votre plaisir ; récompensez-la en éjaculant dans sa bouche : ce sera votre petit cadeau personnel pour le fait qu’elle soit une bonne suceuse.
— Ah, vous croyez ?
— C’est une soumise, elle a à cœur votre plaisir ; prouvez-lui.

Je reprends en bouche cette tige frémissante dont le bout perle déjà de quelques gouttes de sperme, et sensuellement, ma langue caresse le gland prêt à tout lâcher. Je sens un petit raidissement de la part de Monsieur ; je pense qu’il est mûr, alors j’enfourne posément son sexe pour le pistonner vicieusement. Le résultat ne se fait pas attendre : il décharge dans ma bouche, par petites pulsations tandis que j’avale tout, en bonne soumise consciencieuse.

Il se vide en moi par petites saccades, sa tige mollissant entre mes lèvres. Je le nettoie comme il se doit jusqu’à ce qu’il soit complètement flasque. Ma mission terminée, je me recule un peu, puis je dis d’une ...

... voix douce, en m’inclinant :

— Merci, Monsieur.

Fatigué, épuisé, il ne répond pas, il fait juste un geste, mais j’ai compris qu’il avait beaucoup aimé ce petit traitement buccal.

Quelques minutes plus tard, Monsieur a récupéré ; il vient de finir son verre pour mieux revenir dans la course. Hochant de la tête, il s’adresse à Maître :

— C’est une très bonne suceuse, et en plus elle avale sans problème !
— Elle est docile : elle obéit aux ordres, tout simplement.
— Vous avez une notion de la simplicité que je vous envie, Paul !

Maître caresse ma joue ; j’aime beaucoup ! Ce faisant, il change de sujet :

— Un gage partout, sans joker ; félicitations, ma soumise. Passons à la suite.
— Oui, Maître, je suis honorée de vos félicitations.
— Quand c’est bien, il faut le dire.
— Oui, Maître.

Je m’empare des dés que je lance sur la table basse. À nouveau, cinq et un, total six. Maître consulte sa feuille :

— Six : double fessée ; c’est-à-dire que nous serons deux à te fesser en même temps, main, martinet ou fouet.
— Excusez-moi, Maître, mais nous l’avons fait la dernière fois… Je prends le risque, je relance.
— Tu es joueuse, c’est bien.

Je prends le cinq ; il roule longuement et s’immobilise sur le un. Double un ; total : deux. J’ai comme une appréhension. Doctement, un zeste amusé, Maître dit :

— Double un : une chance sur trente-six. Donc un gage rare… Tu as rejoué, mais je ne sais pas si tu as bien fait…
— C’est le jeu, Maître…
— Oui, c’est le ...