Soirée sensuelle pour soumise sexuelle - Histoires de Sexe

Soirée sensuelle pour soumise sexuelle

Trois protagonistes :

— Marc : Monsieur (l’invité)
— Paul : mon Maître
— Moi, Valérie, la soumise de Maître

Les divers épisodes de cette série peuvent être consultés indépendamment.

Maître est debout, vêtu de noir de la tête aux pieds, ce qui fait contraste avec sa chevelure blanche. Agenouillée à ses côtés, garnie de bas autofixants à motifs, court bustier à seins nus, moi, sa soumise, j’attends, laisse au cou. Monsieur, qui vient juste d’arriver, regarde le spectacle, et surtout me regarde, moi ; son regard dit nettement que je suis, selon lui, une appétissante femme obéissante et docile.

— Va souhaiter la bienvenue à ton nouveau Maître. Appelle-le toujours « Monsieur » comme il te l’a déjà demandé lors de vos échanges.
— Bien, Maître…

Connaissant mes usages, traînant ma laisse métallique derrière moi, c’est à quatre pattes que je m’approche de Monsieur qui me regarde avec attention arriver jusqu’à lui. Arrivée à ses chaussures, j’incline la tête pour venir déposer un baiser d’hommage sur chaque pied. Puis, agenouillée à nouveau, j’attends les autres ordres. C’est mon Maître qui prend la parole en premier :

— À présent, la parole de notre invité et ma parole sont les mêmes. Durant toute cette soirée, tu lui obéis sans discuter comme pour moi. En cas de conflit – mais je ne pense pas qu’il y en aura – c’est néanmoins ma parole qui reste prioritaire, car tu es ma soumise. Les trois safewords, rouge, jaune et vert, sont bien sûr de rigueur, il va sans ...

... dire.
— Bien, Maître…
— Parfait, alors commençons. Donne ta laisse à ton nouveau Maître.

Docile, je ramasse la poignée de la laisse et je la donne à mon nouveau Dominant qui me promène ensuite un peu dans le salon, mes genoux et mes paumes sur le carrelage plutôt froid. J’espère ne pas ruiner mes bas, vu le prix que ça coûte ! Alors que Monsieur fait mine de s’asseoir, Maître l’arrête d’un geste de la main :

— Montre donc à ton nouveau Maître ton ornement !
— Avec plaisir, Maître !

Aplatissant mes seins sur le sol, toujours agenouillée, cul en l’air, de mes mains, tournant le dos aux hommes, j’écarte mes fesses, révélant un gros rosebud à l’œil rouge sang. Assurément, Monsieur apprécie :

— Très beau ! Ton cul est effectivement bien orné ainsi !

Puis se tournant vers son hôte, mon Maître :

— Ce n’est pas le petit modèle, à ce que je vois…
— Non, selon les boutiques, c’est le modèle XXL ou XXXL ; ils ne sont pas capables de s’entendre sur la dénomination de la taille. Comme pour la mode féminine, d’ailleurs. Pour info, les spécifications techniques sont : neuf cents grammes, diamètre cinquante et longueur cent cinquante.
— Oui, pas du tout le petit modèle !

Je sais que ce n’est pas le petit modèle : j’ai eu un peu de peine à le mettre, aidée par une dose copieuse de lubrifiant ! Je reste figée dans ma position humiliante, mes seins sur le carrelage froid, les deux hommes continuant de deviser :

— Non, pas le plus petit. Nous en avons d’autres, moins ...