Soirée sensuelle pour soumise sexuelle - Histoires de Sexe

Soirée sensuelle pour soumise sexuelle

... un peu étrange comme situation, de boire son café avec une sorte de grosse cuillère plus bas ! Étrange, mais pas désagréable en ce qui me concerne. À l’air amusé de Maître, je pense que Monsieur doit avoir quelques soucis de self-control !

— Euh, Monsieur, j’ai fini de boire mon café ! Que fait-on maintenant ?
— Tu restes assise là.
— Bien, Monsieur.

Et je reste assise, toujours empalée. Mal positionnée, je remue un peu des fesses pour mieux me caler. Monsieur plaque ses mains sur mon bassin pour m’empêcher de bouger !

— Tu fais quoi ? demande-t-il.
— Je suis pas installée, Monsieur…
— Ah, OK… Lève-toi.
— Bien, Monsieur.

Je me lève, me libérant de cette queue envahissante. Du coin de l’œil, je vois bien que Monsieur transpire, et que ce n’est pas la chaleur de la pièce qui le met dans cet état. Se levant à son tour, il se tient raide comme un piquet, tout comme son gourdin. Il ne va quand même pas me demander de le sucer une fois de plus ?

Non, il s’éloigne pour s’installer dans le canapé.

— Viens ici, et remets-toi sur ma queue ! (il se dévergonde un peu ?)
— Bien, Monsieur. Mais comment ?
— Agenouille-toi de part et d’autre de mes jambes et enfonce-la bien au fond.
— Bien, Monsieur.

Comme ordonné, j’enjambe Monsieur, m’agenouillant par-dessus ses cuisses, le surplombant. Il doit avoir une belle double vue sur le dessous de mes seins et sur ma chatte ! Plus pour très longtemps, puisqu’à nouveau je m’abaisse sur son sexe qu’il guide de ses ...

... doigts. Déjà son gland passe ma porte avant de disparaître dans mes profondeurs humides ! Je vois Monsieur suivre avec intérêt l’engloutissement de sa verge, centimètre après centimètre, entre mes lèvres intimes tandis que je m’assieds. Et comme tout a une fin, elle est à présent hors de sa vue, complètement en moi, bien au chaud.

— Est-ce bien comme ça, Monsieur ?
— Très bien ! Ça te fait quoi d’avoir ma queue en toi, soumise ?
— Du bien, Monsieur !

Ce fut une réponse diplomatique. Pour être franche, oui, ça me fait du bien, mais pas autant que si c’avait été mon Maître. Somme toute, Monsieur ne me déplaît pas, mais quand même pas à la folie. Je suis bien calée sur lui, je le sens bien moi, ni trop peu, ni pas assez. De son côté, il s’enhardit, me caressant délicatement, presque tendrement, les seins, ce qui me fait vraiment du bien. Puis soudain, il s’arrête net, se mordant les lèvres, visiblement sujet à une poussée de désir jaillissant. Du coup, nous restons tous les deux immobiles, lui comme moi. Puis, je me soulève un peu pour m’asseoir sur lui autrement, mieux installée, mieux calée. Et visiblement, cette nouvelle position lui convient aussi.

Toujours agenouillée, je suis à présent fichée bien profondément sur le mandrin de Monsieur, en amazone, ce qui n’est pourtant pas une position de soumise. Soudain, une main impérative dans mon dos m’ordonne de me coucher, ce que je fais, mes tétons effleurant les poils du torse de notre invité.

— Plaque-toi mieux sur Marc ...