Soirée sensuelle pour soumise sexuelle - Histoires de Sexe

Soirée sensuelle pour soumise sexuelle

... droit à l’autre. Qu’est-ce que ça va être ?

— Douze ! Eh bien, ma chère soumise, tu cumules les extrêmes ! Tu sais que tu devrais jouer au Loto ou au Tiercé ?
— Je vais finir par le croire, Maître !

Maître se tourne vers Monsieur et lui demande :

— Quel gage pour notre soumise ?
— Je peux ? Lisez vous-même…
— Hmm… Oui, c’est bon…

Ah, faut pas demander ! Quoique, ce qui est hot pour l’un est parfois soft pour l’autre… J’attends donc la suite des événements, me demandant à quelle sauce je vais être à présent mangée ! Papier en main, Monsieur édicte :

— La soumise fait diverses actions, un pénis dans le vagin.
— Je… je ne comprends pas bien, Monsieur… C’est quoi, ces diverses actions ? Il faut que je fasse quoi ?

Curieusement, c’est Maître qui répond :

— Par exemple, nous allons prendre le café, tu bois le tien, assise sur le sexe de Marc.
— Ah… je comprends mieux, Maître.

Je me tourne à nouveau vers notre invité :

— Combien de temps, Monsieur ?
— Combien de temps ? Jusqu’à ce que j’en décide…

Je souris intérieurement : en réalité, ce gage, c’est pour qu’il ait le plaisir de me baiser, dans le bon sens du terme. Il aurait même volontiers exploré mon petit trou du cul si Maître n’y avait pas mis en quelque sorte un bouchon. Je peux dire non et relancer un dé. Même si je suis une soumise, j’ai quand même un minimum de libre-arbitre ; je reconnais bien là le style de Maître et sa façon ludique de voir les choses et de me faire participer à ma ...

... propre déchéance !

— D’accord, Monsieur : je ferai diverses actions, votre pénis enfoncé en moi.
— Je me répète, mais tu es décidément joueuse, ma soumise.
— Je suis votre soumise sexuelle et j’obéis à vos ordres, Maître.
— Très bien. Va donc chercher le café avec trois tasses ; nous t’attendons ici, à table.
— Bien, Maître.

Quelques temps après, je reviens avec un plateau contenant ce qu’il fallait. J’ai tout de suite remarqué que Monsieur n’avait plus de pantalon, ni de slip ou de caleçon, et qu’il m’attendait visiblement, queue bien dressée vers le plafond ! Je fais comme si de rien n’était ; je sers le café et je mets ma tasse près de celle de Monsieur.

— Vous permettez, Monsieur ?
— Euh, oui…

Je me glisse entre lui et la table. Puis, sereinement, je m’assois lentement sur Monsieur, lui laissant ainsi le temps bien viser. Ce qu’il accomplit visiblement sans problème, car c’est sans effort que je sens un pieu de chair coulisser entre mes lèvres intimes. Son mandrin s’enfonce en moi facilement, sans effort. Il faut dire que tous ces événements m’ont plutôt mouillée, ce qui facilite les choses, non, la chose…

Puis j’arrive au bout, si je puis le dire comme ça… Je suis à présent assise sur les cuisses nues de Monsieur, bien enfichée sur sa tige bien raide. Je sens bien qu’il ne faudrait pas que je remue longtemps mon petit cul pour déclencher un feu d’artifice humide ! Donc je fais plutôt attention à mes mouvements quand je bois mon café. C’est vrai que c’est ...