1. La maman dévergondée, 13° partie


    Datte: 17/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Partouze / Groupe Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... l’autel, cette fois à genoux, penchée en avant, la croupe tournée vers l’assemblée. Il lui a fixé les chevilles sur un carcan métallique, légèrement séparées, puis il a ouvert en grand les globes fessiers afin d’exposer très impudiquement le beau cul aux fidèles. Légèrement inquiet pour celle que je venais d’épouser, je me demandais bien où il venait en venir.
    
    Je n’allais pas tarder à le découvrir, ni à constater à quel point l’imagination humaine est fertile lorsqu’il s’agit de bafouer la dignité d’une personne qui, en l’occurrence, ne demandait que cela. Le père Daniel a inséré un spéculum lubrifié dans l’anus, lentement pour ne pas blesser la petite rosette, mais en écartant si fortement les deux languettes de métal que l’on voyait parfaitement l’intérieur du rectum à la lumière du cierge pascal ! Adrienne filmait le visage de Maman, grossi des dizaines de fois sur l’écran, de sorte que chacun pouvait voir le sourire de l’attachée qui, visiblement, aimait ce geste, et pourtant, jamais je ne l’avais vue écartelée à ce point.
    
    Et la folie a continué : le prêtre a versé le vin qu’il venait de consacrer, c’est-à-dire le précieux sang, dans l’ouverture qu’il venait de pratiquer, en guise de lavement. Jusqu’à la dernière goutte : il y en avait un bon litre, et tout est entré en un long filet qui tombait droit dans l’orifice. Puis son bourreau a retiré le spéculum. La pauvre soumise avait mal au ventre : il fallait qu’elle se libère. Alors le prêtre sadique a demandé à ma ...
    ... mère la permission de procéder au supplice final, et bien sûr, elle a accepté, sans hésiter une seule seconde. Aidé d’Adrienne qui était, rappelons-le, une experte dans le domaine électrique, il a positionné des électrodes sur les seins qui pendaient et les nymphes saillantes, et raccordé les connecteurs à un boitier muni de boutons et d’aiguilles. J’en frémissais, et envisageais d’arrêter tout de suite ce délire ardent. Mais ce fut la mariée qui, devinant ma pensée, m’en a dissuadé. Elle voulait aller jusqu’au bout de cette incroyable orgie.
    
    Un paroissien a commencé la quête. Chaque fois qu’une pièce tombait dans la corbeille, cela produisait un tintement que le prêtre entendait : il appuyait sur un bouton qui envoyait une décharge électrique dans les organes intimes de la mariée. Lorsque c’était un billet, le quêteur annonçait le montant à haute voix, et le voltage était supérieur, selon la valeur du don. Tout cela encourageait naturellement la générosité des fidèles qui s’extasiaient devant tant d’obscène cruauté, ce qui était le but recherché, bien sûr, et expliquait aussi le 4x4 flambant neuf du curé garé devant l’église. En même temps qu’il jouait avec les commandes de l’instrument de torture, le prêtre sodomisait Maman, la pénétrant jusqu’au fond avec son immense braquemart, de sorte que l’on voyait le ventre se déformer à chaque coup de boutoir.
    
    Soudain, il a joui d’un orgasme sadique au moment où quelqu’un a versé vingt euros, ce qui a fait tressauter ma mère ...
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