1. La maman dévergondée, 13° partie


    Datte: 17/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Partouze / Groupe Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... avec mon aide, il a saisi à deux mains le lourd cierge pascal afin d’arroser de cire liquide la surface de la peau de ma pauvre mère. Celle-ci a pleuré sous la brûlure, mais elle n’a pas demandé que cesse le supplice : bien au contraire, lorsqu’elle parlait, c’était pour encourager son bourreau, quand il craignait de la blesser en allant trop loin.
    
    Pendant ce temps, les fidèles étaient priés de demeurer à genoux, dans une posture de prière, afin d’implorer la mansuétude divine à l’égard de leurs fautes que ma mère était en train de laver, et aussi de glorifier celle qui, par sa douleur, se sacrifiait pour leur salut. Ils obéissaient, certes, mais les braquemarts étaient tous sortis hors des pantalons, levés, les glands tout violacés au bout des hampes tenues à pleine main, et suintant la rosée du désir. Les yeux hallucinés, injectés de sang dans la pénombre de la nef, ils grognaient et bavaient tous comme des chiens en rut et je voyais bien qu’ils étaient impatients de recevoir le signal qui leur permettra de se ruer sur elle. Mais il fallait savoir se tenir, car la discipline religieuse était de mise.
    
    Adrienne s’est levée de son banc du premier rang pour lire la Bible au pupitre : le passage du livre de la Genèse où, après la destruction de Sodome et Gomorrhe, les jeunes filles de Lot ont enivré leur père avant d’abuser de celui-ci pendant son sommeil, afin qu’il les ensemence et laisse une descendance (vérifiez par vous-même si vous ne me croyez pas : Gn 19, 30-36). ...
    ... Si Dieu approuve l’union entre deux filles et leur père, pourquoi pas entre une mère et son fils, a-t-elle commenté ? Elle savait commenter le livre saint d’une manière assez spéciale, et parlait avec l’autorité d’une jeune prophétesse. Elle s’est, elle aussi, mise à nue pour lire, et avait deux boules de Geisha vibrantes insérées dans le vagin et deux autres dans l’anus, de sorte qu’elle est entrée dans une splendide jouissance qui éclairait son joli visage, au moment où elle évoquait, à la fin de l’histoire, la grossesse des deux sœurs, fécondées par leur géniteur, et les lignées qu’elles enfantèrent.
    
    Pendant ce temps, le père Daniel torturait ma mère avec application, au moyen de la cire brûlante du cierge pascal, en laissant couler le liquide blanc qui se solidifiait instantanément au contact de la peau, d’abord sur son ventre, ses épaules, ses bras, ses jambes, puis sur des zones plus sensibles : ses pieds, ses seins et enfin son sexe déjà très humide. Toute la surface de l’épiderme de ma mère se couvrait progressivement de la substance blanche et chaude. Elle gémissait sous ce tourment, et le prêtre prenait visiblement du plaisir à la faire souffrir ; cependant, elle ne réclamait pas la fin de supplice. Au contraire, elle ponctuait ses manifestations de souffrance par des « oui » qui l’encourageait à poursuivre le châtiment expiatoire. Le bourreau a positionné un micro devant la bouche de la mariée attachée afin que chacun puisse bien entendre les plaintes qu’elle ...
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