1. La maman dévergondée, 13° partie


    Datte: 17/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Partouze / Groupe Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Dans les épisodes précédents, après une valse-hésitation, ma mère a fini par me convaincre de nous marier à l’église. Elle avait déjà trouvé un prêtre qui acceptait de célébrer cette union quelque peu hors des normes. Nous étions tous les deux fébriles dans l’attente de ce jour, et pour tromper notre impatience, nous copulions frénétiquement, non seulement chez nous, mais aussi à l’extérieur, en profitant de la moindre occasion, comme dans les toilettes des restaurants ou les cabines d’essayage des supermarchés.
    
    Enfin, le grand moment est arrivé. Maman avait revêtu sa robe blanche qu’elle avait achetée avec Adrienne, en mon absence bien sûr. Elle était extraordinaire ! Le tulle, fin au point de se trouver presque transparent, laissait deviner qu’elle était nue en-dessous, et à contre-jour, on apercevait sa silhouette d’ange de sensualité tout droit descendu du paradis. Pour ma part, j’avais opté pour un costume classique, avec une cravate bleue qui m’enserrait le cou : la première et la dernière fois que j’en ai porté une. C’était un soir d’été, alors que la journée avait été torride et que le crépuscule embrasait le ciel à l’occident.
    
    L’église dans laquelle la cérémonie a eu lieu était ancienne et la pierre grise et lourde qui nous entourait n’avait rien de joyeux à nos yeux, mais cette célébration, nous le savions déjà, allait s’avérer très spéciale. La nef n’était pas très grande, mais elle était bien remplie de fidèles que nous ne connaissions pas, des hommes ...
    ... pour la plupart ; ils observaient ma mère avec des regards remplis de désir et commentaient entre eux, sans se cacher, ses formes avantageuses. J’étais en train de penser que cela faisait au moins dix ans que je n’étais pas allé à la messe, et aussi aux charmes exquis de Maman sous sa robe toute blanche, tout en chantant distraitement les cantiques, quand le père Daniel, l’homme d’Église qui nous mariait, m’a tiré de ma rêverie en nous demandant d’avancer vers l’autel pour l’échange de consentements. Deux alliances, deux annuaires garnis d’anneaux d’amour jusqu’à ce que la mort nous sépare : voilà, nous étions unis pour le meilleur et pour le pire.
    
    Puis le prêtre a prié Maman de monter debout sur l’autel et de retirer sa robe. Elle a obtempéré, car c’était là la condition pour que la cérémonie puisse avoir lieu malgré nos liens de parenté et l’impossibilité de nous unir civilement – situation totalement illégale que ce curé n’acceptait qu’en échange des faveurs sexuelles de la mariée, faveurs qu’il avait décidé de partager généreusement avec toute l’assemblée. Pour ma mère, cela ne représentait pas du tout une contrainte : s’il ne l’avait pas exigé, elle le lui aurait proposé spontanément, car elle a toujours aimé avant tout les expériences érotiques extrêmes, s’exhiber en public, et elle donnait toujours un bon accueil au déferlement sur elle du désir des hommes. Dans ce domaine, elle allait être servie au-delà de toutes ses espérances.
    
    Alors que la nuit juste tombée ...
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