La tour infernale
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
piscine,
ascenseur,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
aliments,
Humour
sf,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... bruns de son compagnon d’infortune qui semblait vouloir lui dévorer son brugnon. Il insistait avec douceur sur le sommet de son petit fruit, déclenchant des vagues de frissons à travers son corps.
Un grand sourire aux lèvres, elle se remémorait leur séjour.
Ils restèrent nus et firent l’amour un peu partout et dans de nombreuses positions. Ils allèrent aussi sur la terrasse. Autour d’eux s’étendait Paris et, selon ses dires, il y reçut la plus belle fellation de sa vie. Elle tint à le garder en bouche jusqu’au bout. Elle rechignait à le faire avec Carl, mais n’hésita pas une seconde avec l’autre naufragé des cimes, comme ils se nommaient.
Pour lui, faire l’amour dans un jacuzzi procurait des sensations inoubliables. Surtout lorsque les bulles venaient éclater sur les testicules.
Elle n’osa pas le dire, mais les bulles lui faisaient le même effet sur la chatoune.
— Il semble insatiable, se disait-elle, et moi aussi.
Elle se rappelait les paroles de Carl : « Même pas capable d’accepter un doigt dans la rondelle… »
— Je vais te prouver le contraire, sale con !
Elle décida alors d’offrir son ultime virginité.
Agenouillée sur le lit, les cuisses écartées, la croupe relevée, Angélique donnait un spectacle fabuleux.
— Tu es sûre ? Vraiment sûre ?
— Oui : c’est une question d’honneur et d’amour-propre.
— Dans ce cas, je m’incline.
Il voulait qu’elle en garde un agréable souvenir, ne pas lui faire mal. Aussi fit-il preuve d’inventivité.
Quand elle ...
... comprit ce qu’il allait lui faire, elle eut honte et alla se laver le pétrousquin, se le vaporisant de parfum.
Il commença par une longue séance de caresses, embrassant la petite rondelle vierge, y passant la langue. C’était la première fois qu’on lui faisait une feuille de rose. Elle en avait la chair de poule. Le but de la manœuvre étant de détendre l’endroit.
N’ayant pas sous la main de lubrifiant spécifique, il lui tartina copieusement l’œillet de graisse de foie gras d’oie, n’hésitant pas à en faire pénétrer avec un ou deux doigts. Chatouilleuse de nature, elle gloussait et tortillait des fesses.
Il s’en habilla la queue aussi.
— Détends-toi, relâche ta respiration, lui conseilla-t-il.
Les mains posées sur les hanches, il investit le dernier bastion. Il faisait très attention, restant très doux.
Il ne put contrôler des dérapages : le gland glissait un peu partout, sauf là où il aurait dû.
Cette situation provoqua quelques fous-rires aux deux amants.
Il parvint toutefois à ses fins. La bête pénétra la petite rondelle.
Elle poussa un petit cri.
— Ce n’est rien, juste la surprise ; continue.
Il caressait le petit minou, câlinant le clitoris. Il voulait la stimuler de partout.
— Le plus dur est derrière toi.
— Ne me fais pas rire !
Il en fit entrer un peu plus. Plusieurs pauses furent nécessaires avant que le gourdin entier soit bien au chaud, son ventre collé aux fesses.
La jeune femme avait la bouche ouverte.
— Ça va ?
— Oui… ...