1. La tour infernale


    Datte: 15/05/2021, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail piscine, ascenseur, amour, Oral pénétratio, fsodo, aliments, Humour sf, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... trop long ni trop gros – elle redoutait les gros sexes ; celui-ci lui paraissait parfait, juste le bon calibre.
    
    Max appréciait ses caresses. Son pénis tremblait sous les doigts de la jeune femme comme désireux de vivre sa vie, d’aller là où bon lui semble.
    
    Il regarda le visage de sa codétenue : attentive, un petit bout de langue dépassait entre ses lèvres.
    
    — Laisse-moi faire… lui murmura-t-elle.
    
    Elle vint s’asseoir à califourchon sur lui, l’embrassa.
    
    En soulevant les fesses, elle plaça le bâton de pèlerin à l’endroit idoine et descendit dessus. Un grand sourire gourmand aux lèvres.
    
    Le sexe bien planté en elle, Angélique laissa passer quelques instants, ses fesses ondulant autour du manche. Chaque mouvement lui déclenchait de petites décharges électriques dans le ventre. Elle gémissait doucement.
    
    Les mains posées sur sa taille, Max l’aidait à faire le ludion sur son nœud.
    
    Deux mignons petits seins se trémoussaient devant ses yeux. Il lâcha les hanches pour aller les caresser.
    
    Elle sentait de nouveau une douce chaleur irradier son bas-ventre, remonter vers ses seins et lui faire tourner la tête, ivre de plaisir.
    
    Elle se laissait aller, elle exorcisait ainsi toutes ses peurs, ses problèmes. Un petit moment de plaisir pour oublier ses malheurs.
    
    Ils ne faisaient plus qu’un.
    
    Il la regardait, émerveillé. Cette jeune femme normale en apparence était si belle dans l’acte d’amour… elle se donnait sans retenue à un inconnu. Elle s’agitait de plus en ...
    ... plus vite.
    
    Il la caressait, des mains et des yeux.
    
    Ses yeux se révulsèrent et elle poussa un gémissement de bonheur. Un grand sourire illumina son visage, et il sentit une nouvelle fois le vagin se refermer sur son sexe en une douce étreinte. Il sentit les muscles de sa compagne le presser, le caresser, le malaxer.
    
    Max ne tentait même pas de résister ; il était emporté lui aussi par une vague de plaisir.
    
    Il se répandit de nouveau dans l’intimité d’Angélique.
    
    La jeune femme se lova contre son amant.
    
    — Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris ; je ne suis pas comme ça d’habitude.
    — Ne t’excuse pas, j’en suis tout heureux.
    — Tu vas me prendre pour…
    — Pour une femme qui a eu peur. J’ai eu peur moi aussi. Je suis même désolé, je n’aurais pas dû profiter de la situation.
    
    Il ponctua sa phrase par un baiser sur le bout du nez.
    
    — Je ne sais pas si tu es dans le même état que moi, mais je n’en peux plus.
    — Pareil pour moi.
    
    Ils s’endormirent, bras et jambes emmêlés.
    
    Avant de sombrer dans le sommeil, il avait déposé sa veste sur le corps de la jeune femme.
    
    Ils sont adorables, tous les deux. Y sont-y pas mimis ?
    
    Le lendemain matin, vers 9 heures, il s’éveilla le premier. Blottie contre lui, elle souriait dans son sommeil.
    
    Il lui caressa doucement les cheveux.
    
    Il admirait ce charmant tableau : un sein pointait hors de la veste, et il pouvait voir une jolie paire de fesses blanches.
    
    Ce petit bout de femme l’émouvait.
    
    Elle se réveilla, lui ...
«12...91011...19»