1. Mari trop jaloux


    Datte: 15/05/2021, Catégories: fh, fhh, cocus, vacances, jalousie, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... échangés. Surtout avec ce début de complicité, cette main que j’avais dans la mienne, cette bise chaste, mais déjà prometteuse. Moi, déjà, j’échafaude un scénario…
    
    J’ai fait le ménage. Mes deux petits-fils sont partis plus tôt pour acheter des « coupe-faim » avant les cours. Moi j’ai faim d’autre chose…
    
    On sonne. J’ouvre. C’est elle, bien entendu. Mais je sais en la voyant que tout espoir n’est pas perdu. Elle a quitté la tenue traditionnelle, pull et pantalon, pour chemisier et jupe. Moi-même j’ai fait un effort avec une chemise ouverte sur mon torse velu et un pantalon de toile.
    
    Nous nous saluons par deux bises. Un premier pas. Elle m’a quitté par une bise. Elle me revient avec deux. Elle repartira… Nous sommes un peu « empruntés ». Je lui propose de s’asseoir. Tout est prêt, café, petits gâteaux. Mais elle se dirige vers la fenêtre.
    
    — Vous avez de la chance d’être plein sud. Moi, je n’ai le soleil que le matin.
    — Je fais la demande au moment de la réservation.
    
    Le soleil la découpe et trace sa silhouette. Sa jupe est devenue transparente, je devine ses cuisses et ce « V » inversé si prometteur. Je m’approche d’elle. Elle regarde dehors. Je suis tout contre elle. Je n’ose me coller de peur de l’effrayer. C’est peut-être trop vite. Mais je ne résiste pas à l’envie de déposer des baisers dans le cou, progressant vers l’épaule, montant vers l’oreille.
    
    — Franck. Que faites-vous ?
    
    Si elle me questionne, elle ne bouge pas. J’ai même l’impression que cela lui ...
    ... plaît.
    
    — J’ai envie de vous. Vous le savez. Les femmes sentent ces choses-là. Et si vous êtes venue, c’est que je ne vous suis pas indifférent.
    — Oh ! Franck, vous allez penser que…
    
    Elle ne termine pas sa phrase. Déjà je l’embrasse et mes lèvres font un bâillon sur les siennes. Elle sent bon. Comme moi, elle s’est lavé les dents. Tout un programme ! Notre baiser devient fougueux, intrusif. Je découvre une langue audacieuse et non pas soumise. Elle se bataille avec la mienne. C’est délicieux. Un vrai baiser de femme qui a envie.
    
    Déjà je commence à détacher son corsage. De son côté, elle passe la main sous ma chemise pour caresser ma peau et jouer avec mon duvet qui plaît tant aux femmes et me donne une virilité particulière à leurs yeux.
    
    Quelques minutes de ce jeu de la première découverte et son chemisier est à terre, bientôt rejoint par ma chemise. Je la pensais « passive », je la découvre « active ». Sa jupe tombe, mon pantalon ne tarde pas. Vient le moment du soutien-gorge, une merveille de simplicité, tissu transparent qui laisse deviner des aréoles sombres et des tétons que je me dépêche de libérer de toute contrainte. Quelle belle poitrine ! Généreuse, mais ferme. Qui a dit que la pomme de Newton lui a montré l’existence de la gravité ? S’il avait connu la poitrine de Maryse, la lettre G n’existerait que pour le point G, endroit mystérieux caché dans l’intimité de la femme et non pas pour G, coefficient d’accélération de la pesanteur sur Terre.
    
    Mais je ...
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