Mari trop jaloux
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
vacances,
jalousie,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... ne suis plus sur Terre, le Paradis est à portée. Saint-Pierre me laisse en ouvrir la porte, dentelle sage également, mais qui me laisse voir cette oasis de verdure :
— Mon mari ne veut pas que je m’épile. Il dit que cela fait « pute ».
Qu’importe la toison pourvu qu’on ait l’ivresse. Je hume son parfum intime. Les poils sont fins, écrans d’une fente protégée. Ma main en flatte la surface. C’est doux, bombé, soyeux, un peu humide.
Elle gémit de ce simple contact. Je reviens pour l’embrasser. Mes mains caressent ses seins. Les lobes massifs. La texture légèrement granuleuse des aréoles. La dureté des pointes, que l’envie magnifie.
Elle aussi baisse mon slip. Ma verge est à l’air, demi-érection, tige déjà en lévitation, bourses libres de tout poil, déjà gonflées.
Sa main en fait le tour. Je bande d’une poussée. Elle me caresse. Je recule. Le canapé nous attend. Je m’assois. Elle me suit, mais aussi m’invite à m’allonger. Quelle gourmande, elle veut déjà se posséder avec ma queue qui se dresse maintenant.
Non, elle aussi s’allonge et, après un baiser, se tourne pour me recouvrir et se placer en 69.
Mon horizon s’assombrit. Bientôt je n’ai que son intimité comme paysage. Mais c’est beau comme du Renoir, du Pissarro, du Buffet et même comme du Picasso dans sa bonne période. La toison est si fine que ma langue la traverse d’un trait. Je retrouve cette odeur délicate et cette humidité qui est le signe de l’envie. Moi, mon envie est plus évidente, longue tige ...
... dure, à peine veinée, mais si sensible que les lèvres qui l’embouchent font frémir.
La Belle me couvre. La Belle me suce, bouche gourmande et audacieuse que je sens progresser tout au long de mon vit. La langue est un serpent. Adieu serpent du jardin d’Éden, tentateur maléfique. Bonjour serpent agile qui ondoie et me recouvre de salive.
Mais je ne suis pas en reste. Je sais renvoyer l’ascenseur. Moi je lèche, j’aspire, j’extirpe jusqu’à ce que le bouton caché, mais tendu soit hors de sa gangue et se laisse aspirer.
La Belle gémit. Qu’importe que, bouche pleine de ma queue, les paroles soient incompréhensibles. La musique suffit. Elle suit mes caresses et les crispations du vagin annoncent déjà la jouissance.
Que c’est bon cette rosée qui s’écoule. Ce jus de femelle parfois odorant, parfois insipide, mais toujours signe de la jouissance.
Une femelle que je m’attendais à trouver plus passive, mais qui se révèle entreprenante. Une femelle qui se lève. Qui se tourne. Qui me chevauche. Une femelle que j’arrête d’un geste en lui tendant une capote. Une capote qu’elle regarde comme si c’était un ovni.
— Je suis allergique au latex.
Merde, pensé-je, c’est foutu. Au moins pour cette fois-ci. Quel dommage ! Le temps d’aller acheter d’autres capotes, la pression sera tombée, le plaisir éloigné et même que peut-être, Maryse aura retrouvé toute se retenue.
— Je suis clean, dis-je, comme si je jetais une bouée à la mer.
Putain, ce regard. Maryse guide déjà mon ...