Un alibi crapuleux (1)
Datte: 14/05/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory
... en prison… histoire qu’il garde un bon souvenir de moi et du mauvais tour qu’il a voulu me jouer…
— Il n’a pas encore avoué. Mais il n’a lui aucun alibi, sa femme et sa fille étant avec vous cette nuit-là… comme vous le savez. Il prétend qu’il était seul chez lui. Ce que personne ne peut confirmer… En tout cas, sachez que nous vous présentons nos excuses pour les coups que vous avez reçus, et pour vous avoir faussement mis en accusation.
— Vous savez, si vous voulez vraiment que je pardonne, venez ce soir au night-club "Hysteria" et mettez quelque chose de plus sexy que votre costume… Quoi que… Je n’ai encore jamais baisé de fliquette en uniforme, emportez-le aussi…
— Pardon… Mais… Je ne…
— J’ai encaissé des putains de marrons ! Dans votre commissariat, alors que vous étiez à côté. Avec vous viendrez ce soir, et on s’amusera ! Vous voulez peut-être que j’informe la presse de cette histoire ?
— Euh non… mais….
— Vous avez voulu me faire porter le chapeau… Vous avez voulu me baiser, alors c’est moi qui vais vous baiser ! Si vous voulez vous excuser, ce sera à genoux, cette nuit. Et vous n’aurez mon pardon que quand j’aurai vidé ma queue pleine de foutre dans votre bouche… compris ? »
— O-o-oui… »
Sandrine se retira du bureau, honteuse, presque en pleurant... Patrick, lui, resta assis. Son visage se contracta, puis il recula son fauteuil roulant. Sous le bureau il y avait la veuve Morfort, occupée à avaler une puissante giclée de sperme. Une fois que ...
... le foutre fut descendu dans son estomac, elle se releva. Elle était habillée tout en noir, portant le deuil de son époux. Elle aurait eu l’air on ne peut plus respectable, si ce n’est les quelques gouttes de spermes qui lui restaient sur ses lèvres. Elle n’y portait pas attention, car elle était en colère :
« Tu vas la baiser ?! Et moi alors !
— Toi ? Je te baise aussi, non ? Pourquoi tu râles ?
— Mais… Je suis pas ta pute ! Tu crois que tu peux aller voir ailleurs comme ça ? Tu te prends pour qui ?
— Moi ? Je suis un baiseur, et toi une baisée. Tu sais pourquoi ? Parce que tu es une meurtrière, une tueuse. Pour l’instant la police ne te soupçonne pas, mais il ne faudrait pas grand-chose… Alors je te baise quand j’ai envie. Et quand j’ai envie de baiser une autre pouffe, tu la fermes.
—… Salaud.
— Oh, pas de leçon de morale de ta part. C’est toi qui es venue me voir pour trouver un moyen de tuer ton mari.
— Mais, je ne comprends pas… Comment tu as fait ? Pourquoi il y avait les empreintes du flic sur l’arme ?
— C’est simple, j’ai demandé à son épouse d’échanger son arme avec la mienne. Comme c’est le même modèle, il ne s’est rendu contre de rien en la prenant et a laissé ses empreintes dessus. Et toi, tu as fait bien attention d’utiliser des gants pour flinguer ton époux, comme je te l’ai demandé, donc tu n’as pas laissé les tiennes.
— Et sa femme... Comment l’as-tu convaincue ?
— En fait, je cherchais juste une femme de flic prête à tromper son ...