Mon Apocalypse à Moi 01
Datte: 14/05/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byDesonrage, Source: Literotica
... Évidemment, le bruit avait fait lever la tête de la jolie zombiette qui cherchait à discerner la provenance de ces bruits.
La minette déroulait une suite de phrases sur le siège passager. Il était question de sa soeur , de mon dieu mon dieu, et c’est horrible. Je lui fis signe de se taire et de passer à l’arrière. Le devant de son t-shirt était éclaboussé de sang, ainsi que son legging. Je lui chuchotais de se taire, et d’enlever son haut pour éviter la contagion. Elle se débarrassa de son top marqué”love” et de son legging bleu. Puis le soutien-gorge rose clair suivit les autres vêtements au fond de l’habitacle. À mon grand regret, sa culotte restait blanche, épargnée. Son mont de Vénus légèrement bombé la remplissait bien, et j'hésitais à lui enlever pour soulager l'érection qui grandissait dans mon caleçon. Mais je bruit du viol allait exciter les déments anthropophages qui erraient sur le parking.
Je m'approchais d’elle jusqu’à sentir sa poitrine contre mon torse.
-Tu t’appelles comment ?
-Christelle.
-Moi c'est Xavier.Voilà ce qu’on va faire. Tu ne vas pas bouger et moi non plus pendant une heure, le temps que le parking se vide. Ils ont pas l’air d’avoir une bonne vue. Et après, on se casse.
-D’accord. Murmura-t'elle.
J'avançais un peu mes hanches et elle frémit en sentant mon sexe durci sous mes vêtements. Sa respiration s'accéléra. Dehors des cris et des coups d’accélérateur se faisaient entendre, souvent suivi de bruits de collision et d'encore ...
... plus de cris. Elle sursautait à chaque nouvel ajout dans le pandémonium de bruits, à l’extérieur. Je souris en ouvrant ma braguette. Je lui détachais sa main de mon dos et la posais sur ma bite tendue.
-Tu sais quoi faire. Dis-je simplement.
Elle me regarda, les yeux perdus et brillants de larmes. Je la regardais avec des yeux durs. Elle referma sa main sur ma colonne de chair et commença un timide va et vient. J'étais excité, mais la caresse était inefficace. Je bandais dur mais ça n’allait pas suffire. Je caressais son petit cul rond par dessus sa culotte de coton. Et elle renifla pour étouffer un sanglot. La larme sur sa joue était ronde et belle, comme il sied à une jeune fille innocente obligée de branler un homme inconnu dans une camionnette entourée de zombies. J'explosai avec un râle étouffé, maculant sa cuisse droite d’une trainée gluante. Je me reculais et lui tendis un kleenex, qu’elle s’essuie. Peu après, je coupais par la pelouse nous séparant de la nationale pour nous emmener loin du parking. La radio diffusait des nouvelles alarmantes. Personne ne savait ce qui se passait, mais tout le monde avait peur.
Ma maison est à l'écart de la route et la haie d'épineux me gardait, derrière un grillage,de la curiosité malvenue des voisins et des démarcheurs. Je refermais le grand portail et la précédais dans l’entrée. Je lui donnais un t-shirt et un jogging avant d’aller chercher les courses. Je la retrouvais assise devant la télé où défilaient des reportages tous ...