1. Mon Apocalypse à Moi 01


    Datte: 14/05/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

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    Tout le monde se souvient de son premier zombie. Certains malchanceux ont été confrontés à un groupe d’entrée. Ça a dû être dur pour eux, amis heureusement bref. Si l’on est pas préparé, c’est fatal. Moi, en fait,je suis prêt depuis tout petit. J’ai toujours détesté tout le monde, et depuis que je massacrais des petits animaux. Mon premier, c'était au supermarché. Je venais acheter des conserves et des bières pour le mois. Mon caddie était plein et je m'approchais de la caisse en préparant mon porte feuille. J’ai entendu un hurlement hystérique et j'ai vu une dame en robe à fleurs d'un certain âge et d’un bon poids égorger une caissière. Un policier arrivait en courant et il tira une balle en plein torse de la mégère homicide. Un geiser de sang jaillit sur le visage d’un monsieur qui s’effondra, sans doute évanoui. La grosse tomba sur son cul, puis se releva avec un grognement et empoigna le flic avec rage et voracité, lui ouvrant la gorge d'un coup de dents. Le défenseur de l'ordre s'effondra en dévoilant un sein laiteux et une totale absence de culotte. Les clients commençaient à paniquer et à refluer vers le fond du magasin. Moi, je compris tout de suite qu’une apocalypse zombie se produisait. Putain, j’avais regardé tellement de films traitant de cet événement, que j’etais ce qui pouvait s’apparenter à une forme d’expert. L’arme du policier avait glissé presque jusqu'à moi. Je me baissais pour la ramasser et me coulais jusqu'au corps du malheureux. J’empoignais ...
    ... l'automatique et osais avancer jusqu’au mort, déjà agité de convulsions. Je saisissais ses deux chargeurs d'avance dans son ceinturon et me dirigeais vers la sortie de secours. J'avais récupéré mon caddie, c’est pas tous les jours que l’on a une telle promotion. Le parking était un joyeux bordel. Des ombres titubaient derrière les clients affolés et s'abattaient à plusieurs sur les moins rapides ou les moins chanceux pour les dévorer. Un homme passait à côté de moi, poursuivi par deux folles dont l’une portait une robe légère déchirée qui laissait voir un sein bien rond. Quel dommage, vraiment. Je fauchais la jambe du mec qui s’effondra avec un cri. Je jetais mes emplettes au fond de ma camionnette tandis qu'il découvrait avec des hurlements l’affection dévorante au sens propre de ses nouvelles amies. Celle avec la robe légère dévoilait un cul juvénile et bandant avec une ficelle y traçant une trait esthétique et peu couvrant. Dans sa position, occupée qu’elle était à déguster les entrailles de sa victime, j’apercevais son trou du cul palpiter, comme s’il s’agissait d’une petite bouche qui répondait à la voracité de l’autre, la grande.
    
    Je restais un instant à me demander si le virus zombie était une mst et si un rapport serait possible, quoique la fellation fut exclue, bien sûr. Un coup fit résonner l’habitacle. Une jeune fille paniquée tapait à ma fenêtre passager. Je débloquais la portière et la laissait monter et claquer derrière elle avant de verrouiller de nouveau. ...
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