-
Mon Apocalypse à Moi 01
Datte: 14/05/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica
... chercher? -Non, dit elle d’une toute petite voix. Ma mère n’est pas très affectueuse. Elle me débita l’attendu couplet sur sa mère méchante et son beau-père vicelard qui pourchassait ses belles filles, les obligeant à verrouiller leur portes de chambre. Elle avait surpris Catherine en train de le sucer devant un porno pour 50€. -Catherine ressemble à ma mère,dit elle finalement. -Ressemblait. Corrigeais je. Elle ouvrit de grands yeux. Je remis la chaîne d'infos. Toujours les mêmes images. Je l’envoyais se doucher. Elle verrouilla la porte et j’entendis l’eau couler. J’ en profitais pour descendre à la cave. J’ouvrais mon armoire forte. Je caressais mon fusil à pompe et ma 22 de précision. J’avais autant d’armes que la loi française le permettait. Et des balles de chasse au sanglier. Largement de quoi exploser une tête. Je remontais peu après que les bruits d'écoulement se fussent tus. Elle avait remis le t-shirt, et celui-ci adhérait à ses flancs avec l’humidité. -Demain, je te ramène chez toi, dis je. Elle ouvrit de grands yeux. -Tu préfères aller ailleurs? Elle laissa couler une larme. Mon dieu, qu'elles m’excitait, ces larmes de gosse. -Si tu veux rester, je ne me contenterai pas de préliminaires. Tu es vierge? Elle hocha la tête. -Bien. Alors tu vas te caresser. Je ne veux pas te prendre toute sèche, ça va t'abimer. Elle était perdue. Le monde s’effondrait et les repères avec. -Relèves ton t-shirt. -Maintenant ? Hasarda ...
... -t'elle. -Oui. Tout de suite. Elle leva le vêtement jusqu'à ce qu'il roule sur ses hanches. Puis elle hasarda une main fine dans sa légère toison. Son index coulissa le long de sa fente rose et elle commença à le faire glisser de plus en plus vite, avant de s'appliquer à titiller le bouton qui pointait au sommet de la vulve. Elle émit une sorte de toussotement en arrivant au maximum d’excitation, ses reins se cambrèrent, me montrant sa vulve ouverte et humide et la membrane rosée que j’allais détruire. Je m'étais complètement déshabillé. Je me plaçais à genoux entre ses cuisses que j'écartais encore davantage. Le gland rentrait bien. Je sentis une résistance. Je plongeais mon regard dans le sien. Elle ferma les yeux pour dissimuler sa terreur, mais je la sentais trembler Comme une biche aux abois. J’augmentais ma pression et plongeais dans le fourreau étroit de son sexe juvénile. Mon dieu, quel pied ces muqueuses inviolées et ces gémissements mêlés d’ halètements aigüs. Je sentais son jeune corps s'adapter au lien et augmentais le rythme de mes allers retours. Je vis qu'elle peinait à supporter le traitement que je lui infligeais et qu'elle tentait de me repousser en posant sa main gauche sur mon torse. Je l'écrasais alors de toute mon poids continuant à la pilonner de toute ma vigueur. Ses seins s'écrasèrent sur mes pectoraux. Elle gémit plus fort et je déchargeais avec un râle. Je restais planté en elle pour jouir encore un peu des palpitations de son vagin. Puis je me ...