1. Mailez-vous de vos affaires...


    Datte: 10/05/2021, Catégories: fh, ff, ffh, couple, extracon, Collègues / Travail telnet, vengeance, chantage, revede, intermast, Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Jean Tissip, Source: Revebebe

    ... tu restes dans mon esprit présente, même si tu es irréelle. Je ne chercherai pas à m’imposer. Mais je ressens un tel bonheur que j’espère t’en rendre un peu puisque tu es celle qui l’a rendu possible.
    
    Hier, nous avons fait l’amour. Moi et ma femme. Dans la salle à manger, alors qu’elle se trouvait devant moi, la seule évocation de toi, m’a amené à la prendre dans mes bras, embrassant sa nuque, puis à lui dégrafer son corsage, sous lequel elle n’avait rien, pétrir et caresser sa poitrine. Je sentais que j’étais déjà dur et je me frottais contre ses fesses. Elle a aussitôt joué le jeu, se frottant également, poussant de petits soupirs, sa main explorant et me caressant. « Hum, t’es dur ! » Elle s’est retournée et m’a embrassé à pleine bouche. Elle m’a défait le pantalon et m’a branlé doucement pendant que je passais ma main sous sa jupe. Je lui ai baissé la culotte et j’ai caressé son sexe qui était tout mouillé et on est resté comme ça pendant un moment à se caresser et à s’embrasser goulûment. À la fin, elle s’est mise à genoux sur le canapé et je l’ai prise en levrette. On a vraiment bien joui.
    
    Je sais que tout cela est bien cru mais vous ne pouvez pas savoir comme il est bon de retrouver toute cette force du désir quand on l’a perdu à un moment. Maintenant la baise est pour moi comme une symphonie et je savoure chaque mot dont je la décris. Et c’est encore mieux quand on est accompagné par deux personnes qui vous ouvrent ce monde de plaisir. Ma femme, est la vestale ...
    ... lubrique de mon culte érotique, et toi tu es la gardienne du temple, qui me donne accès à ces accomplissements.
    
    A bientôt, j’attends sans impatience une réponse.
    
    Val. »
    
    Françoise sentait le rouge à ses joues et elle se demanda s’il ne valait pas mieux couper court immédiatement, mais la lettre éveillait des échos de sa propre expérience de la veille. Le plaisir de se dénuder, de toucher et d’être touchée, de se laisser aller à un élan du corps. Elle ressentait encore l’émotion de la caresse réciproque, le crescendo des ébats et le vide apaisant du bien-être, la jouissance passée comme au loin un murmure qui peu à peu laisse place à un silence très doux. Elle relut et la deuxième fois, elle se figura dans cette scène. Elle attendait le retour de Pascal. Elle allait se faire très câline. Malheureusement, il lui téléphona à l’heure où il aurait dû rentrer pour lui dire qu’il devrait faire quelques heures supplémentaires, ce qui dans l’état de leurs finances n’était pas un mal. Françoise alla se coucher et se toucha en pensant au mail de Val. Elle jouit d’une façon brève mais assez violente. Elle regretta ensuite de ne pas avoir attendu le retour de son mari mais le désir était trop urgent. Elle s’endormit et quand il rentra, il se fit discret. Il ne se passa rien cette nuit-là.
    
    Pendant quelques jours, il ne se passa rien de notable. Jusqu’à ce que Françoise remette la robe qu’elle portait au pot de fin d’année. Le soir même, elle recevait un mail où Val la remerciait ...
«1...345...13»