Mailez-vous de vos affaires... - Histoires de Sexe

Mailez-vous de vos affaires...

... passent par la tête.

Pascal n’avait aucune objection.

Quand Christine arriva, les présentations furent vite faites. Françoise était déjà nue dans la salle à manger.

— Viens Chris… Mets-toi à l’aise. Attends, je te déshabille devant Pascal. Regarde mon chéri. Elle est bandante tu ne trouves pas ? Asseyez-vous dans le canapé. Je vais vous caresser pendant que vous faites connaissance.

Assis l’un à côté de l’autre dans une lumière tamisée, ils s’embrassaient lubriquement, Pascal caressant la poitrine de Christine pendant que Françoise la léchant, puis suçant son mari, les excitait au plus haut point avec des gestes d’une grande lenteur et d’une grande efficacité… Et la soirée dura longtemps. Le temps pour chacune des femmes d’être prise allongée, à quatre pattes, en sandwich. Pascal était en pleine forme et tous trois finirent dormant à poings fermés sur le canapé.

Le lendemain matin, Françoise fut réveillée par Christine :

— Françoise, réveille-toi. Ça va ? Tu es bien ? Hum, parce que moi je suis vraiment aux anges. Tu sais j’en veux encore. Hum j’adore tes seins… Va chercher un peu de beurre… J’ai envie de l’avoir dans le cul, ce beau salaud. Tu me branlerais en même temps et on s’embrasserait goulûment.

Françoise lui roula une pelle pour toute réponse. Elle se leva et partit chercher une noix de beurre pour lui lubrifier le derrière. Christine s’était mise en tête de réveiller Pascal pour obtenir ce qu’elle voulait. Deux ou trois ’Pascal, j’ai envie que ...

... tu m’encules’ suffirent à réveiller le désir du mâle et une caresse buccale l’affermirent complètement. Françoise revenait.

— Vite ! Mets-moi la pommade, gémissait Christine.

Françoise la passa et enfonça le majeur dans l’anus.

— Oui, Pascal, remplit moi, vite !

Pascal s’exécuta sans hâte mais fut bien vite dans la place. Christine était déchaînée. Elle s’empalait elle-même et caressait la poitrine de Françoise avec intensité tout en lui suçant la langue à l’avaler. Tous trois étaient à l’unisson de leur plaisir. Ce fut un accord parfait final qui mit fin à la sonate.

Dans la matinée, Pascal est parti se recoucher dans un lit. Il était complètement à plat. Françoise en profita pour parler avec Christine.

— Alors on fait la paix ?
— Qu’est ce que tu crois ?
— Finalement, tu m’as fait chanter mais j’en ai bien profité. Je te pardonne les moyens. Je n’aurais pas découvert tout ça sans toi.
— Tu pardonnes tout ?
— Ben oui, pourquoi ?
— Parce que je crois que tu vas avoir encore quelques surprises.
— Je suis prête à tout après cette soirée géniale. Il est presque 9 heures ! J’avais jamais joui autant de fois dans ma vie. Ni fait ça aussi longtemps. Au fait, j’espère que tu as une bonne excuse pour ton mec. Val ne va pas s’inquiéter que tu ne rentres pas plus tôt ?
— C’est ça la surprise : il n’y a pas de Val. C’est étonnant que tu ne t’en sois pas rendu compte. Le type que tu prenais pour lui, n’en a jamais entendu parler. Heureusement que tu ne lui as pas ...