1. La machine à laver


    Datte: 10/05/2021, Catégories: fh, fhh, hagé, couple, couplus, extracon, cadeau, cocus, inconnu, nympho, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, double, fsodo, Humour totalsexe, Auteur: Alain Allain, Source: Revebebe

    ... naturel, le crin frisotté, pouvait être considéré comme acceptable en dépit d’un front bas et d’un strabisme qui ne lui donnait pas un air particulièrement astucieux. Ses origines exotiques furent confirmées par son patron :
    
    — Mustapha, passe-moi la clef de 18.
    
    L’employé fouilla à grand bruit la caisse à outils pour finalement annoncer de son regard déroutant :
    
    — On l’a laissée au dépôt, chef.
    
    L’autre allait gueuler, mais se ravisa quand il vit le cordon de ceinture du peignoir défait, révélant de la soie en petite quantité. Il avala sa salive et envoya son subordonné faire un tour chez les Grecs :
    
    — Va voir si on l’a pas laissée dans le J7.
    — Oui, patron.
    
    Maryse se pencha au-dessus de sa nouvelle machine, offrant une vue plongeante dans son décolleté de soie blanche :
    
    — Il n’y a que trois programmes ?
    — Non M’dame, y’en a cinq, précisa le chauve en forçant un ton éduqué.
    
    Maryse s’accroupit devant le hublot du tambour et l’ouvrit. La dorure des cuisses s’ajouta à la féerie des tétons moulés dans la soie. Le type passa une main machinale sur sa braguette.
    
    — Il me tarde de la voir fonctionner, dit-elle encore en se relevant.
    
    Le mégot que le vilain gardait au bec frémissait.
    
    — Dans moins d’une heure, vous pourrez l’inaugurer… Mais, dites-moi… c’est de la soie ? osa-t-il en pointant le petit déshabillé qui brillait dans l’ouverture du peignoir.
    — Oui, de la vraie, répondit gaiement la femme en écartant largement son peignoir ; un cadeau ...
    ... de mariage.
    
    Pour un cadeau, c’était un cadeau : le rustaud expulsa presque ses mirettes hors des orbites.
    
    — Ma femme aussi adore la soie, improvisa-t-il.
    
    Maryse fit glisser le peignoir le long des bras et se tourna pour exhiber son dos.
    
    — Je vois que vous êtes un connaisseur(tu parles, Charles) ; voyez cette coupe, ces ourlets, dit-elle encore au balourd qui ne faisait pas la différence entre toile de jute et organdi.
    
    « Non ! Pas à ce type, chérie… » se lamenta le placardé en glissant tout de même la main dans son pantalon de pyjama.
    
    Enfin, prétextant la canicule, Maryse se débarrassa de son peignoir et, le dos tourné au livreur, se déhancha en adressant un clin d’œil au placard. La babine humide, le rustre osa effleurer une hanche de sa grosse patte carrée.
    
    — C’est tellement doux, la soie, bégaya-t-il en glissant sa main sur le tissu.
    
    « Maryse, non, pas lui… »
    
    — Votre femme porte de la soie véritable ? demanda-t-elle.
    — J’pense pas, c’est pas aussi doux, gloussa le troglodyte en posant l’autre main sur une fesse.
    
    Dans son armoire à balais, Vincent s’astiquait le manche :« J’y crois pas… »
    
    — Maintenant, vous saurez faire la différence entre la soie vraie et la fausse, sourit l’aguicheuse en virant la tête.
    — Ah, ça c’est sûr, tartuffa le plombier en serrant la fesse dans ses gros doigts boulus.
    — La soie, c’est léger l’été et chaud l’hiver, renseigna Maryse en ignorant la paluche calleuse qui glissait sur son ventre pour monter vers les ...
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