1. Josie


    Datte: 09/05/2021, Catégories: fh, fplusag, forêt, Collègues / Travail volupté, fsodo, Auteur: Fabien, Source: Revebebe

    ... gars du boulot habitant près de là. Et surtout elle avait un fils encore jeune. Nous nous voyions en coup de vent, genre trente minutes maxi. Pas simple, ni satisfaisant. Elle est venue deux fois chez moi, nous sommes arrivés le lendemain au centre… très fatigués. Un délire de sensations, elle avait une imagination fertile dans les choses de l’amour, peut-être à cause de ses deux années de manque, depuis son divorce.
    
    Un matin où nous faisions du covoiturage, je lui dis :
    
    — Ce soir, j’aimerais que tu ne portes pas de slip, je pourrai te caresser en roulant.
    
    Le soir, elle m’avait écouté, et mon majeur entrait en elle avec une facilité déconcertante. Mais, gênée par son poids et son bassin, ma main était bloquée, seul le bout de mon doigt s’activait en elle, effleurant parfois l’utérus. Sur le périf, elle roulait à septante, pas plus, je la voyais se mordre parfois la lèvre, elle souriait, alors que sa chatte adorable coulait comme une fontaine. Chez elle, sur le lit, elle croisa très haut les jambes sur mes reins, pour mieux me sentir en elle. Dans cette position, elle prenait son plaisir de mon sexe enfoncé en elle jusqu’au dernier millimètre, et de mon index allant et venant dans son petit trou. Ma bouche écrasait la sienne pour que ses soupirs de jouissance n’aillent pas alerter le voisin !
    
    Un samedi matin d’été, je la pris sur ma 125, nous trouvâmes dans les collines alentour une carrière abandonnée, bien cachée de tous. J’entrepris de la caresser pour la ...
    ... faire mouiller abondamment, puis je m’accroupis, mes mains pétrissant la chair abondante de ses fesses… J’adorais cela, la lécher de ma langue, entrer dans ses grandes lèvres et commencer à voir son bassin onduler. Il lui arrivait, ses mains dans mes cheveux, de presser ma tête contre son sexe, et une fois - merveilleux souvenir - de le frotter contre tout mon visage : une vraie frénésie de plaisir, elle était si complice avec moi qu’il n’y avait aucune gêne entre nous pour ces gestes audacieux, que certains beaux penseurs auraient trouvés vulgaires, alors que c’était simplement de l’amour.
    
    Puis je me relevai et, comme il y avait trop peu d’herbe pour s’étendre, je la pris debout : mes mains sous ses cuisses, à la force des bras, je la soulevai et m’enfonçai en elle avec délice. Elle s’était accrochée à mes épaules, sa bouche dans mon cou ou sur mes lèvres, et je savourais la sensation de son vagin autour de moi, impossible de me lasser de son corps, elle était si sensuelle. Je ne pouvais pas m’occuper de ses seins, d’ailleurs nous avions gardé le haut de nos vêtements, mais cela n’avait aucune importance, seul nous préoccupait le pont de chair qui nous unissait. Elle râlait doucement, ce qui amplifiait toujours mon plaisir, mon bonheur de faire jouir une si belle femme. Je sentais entre mes mains son bassin onduler à ma rencontre, je poussais le mien loin en elle au même rythme. Le soleil nous chauffait, le fait de faire l’amour dans cet endroit inhabituel ajoutait à notre ...
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