1. Josie


    Datte: 09/05/2021, Catégories: fh, fplusag, forêt, Collègues / Travail volupté, fsodo, Auteur: Fabien, Source: Revebebe

    ... pour cette si belle femme. Appuyé sur les coudes, je caressais ses cheveux et ses seins pour lui donner encore plus de plaisir. Nos langues se mêlaient, nos souffles étaient courts, elle gémissait de plus en plus vite, je n’en pouvais plus d’aller et venir, j’avais trop envie de son corps depuis ces derniers jours où elle me l’avait lentement dévoilé. Elle avait renversé la tête, les yeux clos, savourant la montée de son orgasme ; mon sexe fut pris de spasmes, je donnai encore trois ou quatre coups de reins et nous jouîmes ensemble. Elle se raidit plusieurs secondes, tétanisée sous une onde de plaisir, puis se relâcha sous mon corps. Effondré sur elle, je la couvris de baisers, la remerciant de m’avoir donné une si forte sensation.
    
    Le soir, elle décida de rester plus longtemps et nous nous retrouvâmes sur le lit. Je la fis venir sur moi, j’avais envie de jouer avec ses fesses et ses seins dont j’avais été un peu privé tout à l’heure. Mais, au lieu de s’allonger, elle s’agenouilla sur moi, et sans s’aider des mains se laissa glisser sur mon sexe tendu. Buste droit, la bouche entrouverte, les yeux fermés, elle allait et venait sur moi en me présentant ses formes généreuses et charmantes. C’était une vision superbe, cette femme mûre qui se donnait du plaisir toute seule sur moi ! Je la laissai faire, ravi, mes mains sur ses cuisses. Enfin, elle pencha son buste sur moi, et je pus la caresser partout comme j’en rêvais. Mes mains prirent possession de son dos, de ses seins, ...
    ... de ses fesses, et mon bassin, libéré de son poids, put aller et venir à mon rythme. D’un doigt je titillai même son petit trou, sans qu’elle dise non, c’était à se rappeler pour plus tard. Nos langues s’enroulaient, nous avions le souffle court, mon sexe allait et venait en elle de plus en plus vite, puis calmait ses mouvements avant de repartir. J’avais décollé mes fesses du lit pour mieux venir en elle, mon ventre tapait contre elle comme pour y entrer plus profond, si c’était possible ! Elle gémissait à nouveau et je sentis son orgasme très nettement autour de moi, par les contractions de son vagin. Je libérai mon sperme loin au fond d’elle, et elle retomba sur moi pour reprendre son souffle un long moment.
    
    Deux jours plus tard, finissant tôt ma permanence et prenant un repos, je fonçai chez moi poser mon sac et courus chez elle, qui habitait à deux pâtés de maisons de là. Nous avions une heure avant qu’elle parte travailler. Nous nous sommes déshabillés l’un l’autre, je passai derrière elle dégrafer son soutien-gorge, et y restai, collé contre son dos, une main jouant avec les poils de son entrejambe. Je pressai mon bassin contre ses fesses, mon sexe se tendant petit à petit. Je le promenai entre ses jambes, puis un peu contre ses fesses, en me tortillant je le faisais s’insinuer entre ses chairs, puis revenais sous elle. De sa main, elle pressait alors mon gland contre ses poils déjà humides, dans un mouvement d’une douceur qui lui était habituelle. Puis je revins ...
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