1. Josie


    Datte: 09/05/2021, Catégories: fh, fplusag, forêt, Collègues / Travail volupté, fsodo, Auteur: Fabien, Source: Revebebe

    Il y a quelques années, j’étais un jeune agent de veille incendie dans un centre de télésurveillance situé en banlieue parisienne. Le commandant était secondé par Josie, une femme gaie et dynamique, malgré un physique lourd, quelques kilos en trop, mais un visage divin, doux, bien mis en valeur par des cheveux courts. Beaucoup d’hommes se retournaient sur son passage, mais elle, divorcée, discrète, ne faisait rien pour les provoquer.
    
    Il advint que, par le hasard des remplacements, des congés, des maladies, nous nous sommes trouvés cinq jours presque d’affilée, en juin, ensemble de permanence. Un jeune qui couchait là le soir (moi) et un cadre qui décalait ses horaires et restait tard le soir (elle).
    
    Le premier soir, calme plat. Le deuxième :
    
    — Tu viens manger ?
    — J’arrive, chef.
    
    Je basculai les alarmes et la suivis dans le couloir. Plus grand qu’elle, je regardais par-dessus son épaule. Pris d’une inspiration, je lui dis de s’arrêter. Etonnée, elle obéit. Je la pris par les épaules et posai sur son cou un long baiser tendre, puis m’écartai d’elle, inquiet de sa réaction. Mais elle reprit sa marche sans rien dire. Vers la fin du repas, je lui demandai si je ne l’avais pas vexée, elle répondit :
    
    — Tu as de la chance, d’habitude il n’y a que les bises dans le cou qui me font de l’effet.
    
    Houlà…
    
    Le repas fini, dans le couloir, je l’embrassai à nouveau de la même façon, sans qu’elle dise rien. Elle alla s’asseoir dans un fauteuil devant la télé. Je ...
    ... m’agenouillai par terre à côté d’elle et l’embrassai encore dans le cou, puis un peu plus bas, puis encore plus bas.
    
    Elle regardait fixement l’écran. Je défis le premier bouton de sa chemise et embrassai sa gorge. Le deuxième bouton sauta mais elle réagit enfin et le reboutonna. Je l’enlevai à nouveau sans qu’elle dise rien et couvris de baisers la peau si douce à cet endroit-là. Écartant le vêtement, je découvris son décolleté et une partie d’un délicieux soutien-gorge noir. Mais elle se leva, se rajusta, et dit :
    
    — Il y a encore du boulot.
    
    Fini pour aujourd’hui !
    
    Le lendemain soir, même scénario et, en allant très lentement, je parvins à ôter tous les boutons et à avoir une vue superbe sur son soutien-gorge et ses seins que je couvris de caresses à travers le tissu. Elle fixait toujours l’écran de télé, comme absente. Son parfum, l’odeur de son corps me rendaient fou, elle était délicieuse. Je couvrais de baisers la naissance de ses seins, agaçant un peu leur pointe entre mes dents, à travers le tissu. La peau était chaude, lisse et parfumée. Puis elle mit fin à la partie…
    
    Le troisième soir, c’est moi qui m’assis dans le fauteuil et la pris contre moi. Debout, elle me tenait les épaules, ma bouche était juste à la hauteur de ses seins, je les embrassais sans pouvoir m’en lasser. Elle souriait, un peu crispée. Je défis sa chemise puis caressai son dos et ses fesses généreuses par-dessus sa jupe. Mes mains descendirent vers ses genoux pour remonter d’un coup sous la jupe. ...
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