1. Josie


    Datte: 09/05/2021, Catégories: fh, fplusag, forêt, Collègues / Travail volupté, fsodo, Auteur: Fabien, Source: Revebebe

    ... Elle réagit vite et s’écarta de moi, mais j’avais eu le temps d’effleurer sa peau nue ! Je la repris contre moi en lui demandant :
    
    — C’est une habitude chez toi ?
    — Quoi donc ?
    — De ne pas mettre de slip ?
    — C’est un string. Je ne supporte rien d’autre.
    
    Waouh, un string ! À l’époque, le string faisait rêver, ce n’était pas aussi répandu qu’aujourd’hui. Cette femme était d’une sensualité insoupçonnée, elle commençait à se révéler petit à petit, et je l’adorais déjà.
    
    Avec douceur, je repris mes caresses sur son dos, ses fesses, et là elle me laissa passer sous sa jupe sans rien dire. Enfin je pouvais la caresser, la pétrir sans retenue, sentir sa peau nue sous mes mains. Son corps était superbe, un vrai appel à l’amour, comme je l’imaginais depuis des mois. Puis je m’enhardis et dégrafai son soutien-gorge, découvrant enfin ce que cachait la fine dentelle. Elle mit alors ses bras autour de ma tête et me caressa les cheveux. Je nageais dans un délire de douceur, la peau de ses fesses, ses jolis seins, légèrement ridés par une grossesse, à peine tombants, en un mot désirables, et contre lesquels je pressais mon visage, mes lèvres, ma langue. Je savourais le grain de sa peau ; je fis gonfler ses pointes et les agaçai doucement entre mes dents et mes lèvres pour qu’elles s’érigent encore. Elle avait les yeux fermés par moments, nous savourions ces minutes de plaisir, elle s’abandonnait contre moi. Je caressais délicatement son sexe à travers le fin tissu du string, ...
    ... passant parfois un doigt dessous pour sentir à quel point elle mouillait.
    
    Au moment de son départ, je la pris de dos contre moi, une main sur ses seins, une autre sur sa cuisse et lui dis :
    
    — Alors, tu peux encore dire que tu n’as pas envie de faire l’amour avec moi ?
    
    Pour toute réponse, elle se renversa contre moi, leva ses lèvres vers les miennes, passa une main sur ma joue et se mit à ronronner quand ma main caressa son sexe à travers la jupe. Elle était superbe, s’offrir ainsi dans mes bras, j’étais en plein rêve.
    
    Elle revint deux jours après, un samedi matin. Nous étions seuls comme prévu, enfermés à l’intérieur du centre de surveillance. La journée s’annonçait calme, nous nous caressions fugitivement dès que nous passions à côté de l’autre. L’après-midi enfin nous eûmes le temps de nous arrêter, et au bout de quelques minutes elle était nue entre mes bras, sur mon lit. Comme elle était belle ! J’avais tellement envie d’elle, de sa douceur, de ses seins, de son visage. Agenouillé devant elle, je la regardais en entier, savourant ma chance, puis je vins enfin entre ses jambes et la pénétrai d’une seule poussée. Quelle douceur ! Je glissais en elle en savourant le contact autour de mon membre, son vagin était serré autour de moi et je ressentais déjà un plaisir dingue. Elle était chaude et terriblement humide, ses reins bougeaient à ma rencontre, elle se mit à gémir en quelques secondes. C’est très flatteur pour un homme, et cela ne fit que renforcer mon attirance ...
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