Sophie et les abeilles (1)
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... ne nécessitait pas de s’occuper de moi autrement qu’en jouant avec mon corps. Il avait disposé mon dos contre son torse, mes jambes par-dessus les siennes pendaient de chaque côté. Mon sexe est offert au regard de Jean-Marie qui n’en perdait pas une miette tout en préparant le repas. Je n’osais pas bouger et « gros bourdon » continuait son tripotage en maltraitant ma poitrine.
Jean Marie nous servait un apéritif fait à base de miel et d’eau-de-vie, très alcoolisée. Assis en face de moi sur une chaise, il trinquait avec, « le gros bourdon » qui avait fait passer mes pieds bien à plat sur ses cuisses, la vue sur l’intérieur de ma chatte était assurée pour le géant qui me faisait face. Je me sentais comme une poupée pour les deux hommes. Plus exposée que chez le gynécologue. Jean Marie m’ordonnait d’écarter mes lèvres avec mes doigts qu’il voit clairs « là-dedans ». Bien sûr j’obtempérais, je devenais folle dans cette exhibition forcée, je sentais l’humidité gagner mon vagin, mes tétines à force d’être étirées, bandaient comme jamais, elles ressemblaient vraiment à des pis de chèvres, maman avait donc raison.
J’attendais la main de « gros bourdon » dans ma fente, mais elle ne venait pas, j’avais envie de me toucher le clitoris, mais devant l’absence de permission, je ne bougeais pas et continuais à écarter ma chatte pour le plus grand bonheur de Jean-Marie qui avait sorti son sexe et se caressait doucement en me reluquant.
J’étais tout à mon rôle et n’avais pas vu que ...
... le géant qui se masturbait et fixait mon sexe avait déposé une boîte au pied de sa chaise. Sans cesser son mouvement, il avait saisi le couvercle de ce récipient, un pot de miel et ce qui me faisait le remarquer étaient les mains de « gros bourdon » qui avaient quitté mes seins pour mes bras qui me ceinturaient le haut du corps. Une cuillère à miel dans la main, il étalait le liquide doré sur mes lèvres et mon anus. Je demandais à « gros bourdon » de ne pas m’écraser et lui jurais que je ne bougerais pas. Il m’allongeait sur le dos et relevait mes cuisses pour offrir plus de visibilité au géant et à lui-même. Le miel coulait le long de ma fente vers mon trou du cul, c’était agréable, quoiqu’un peu poisseux. J’en étais là de mes réflexions, quand Jean-Marie portait près de mon sexe un morceau d’alvéole avec des abeilles dessus.
Il les faisait descendre sur mes lèvres « gros bourdon » qui les écartaient, faisait rentrer les insectes dans les replis de mes lèvres intimes. Le géant muni de la cuillère à miel me masturbait, faisant pénétrer dans mon vagin les abeilles encollées par le miel. Le pire était à venir et je commençais à penser qu’ils étaient un peu fous tous les deux. Des pensées de messes noires et de vaudou me venaient en tête.
C’est toujours Jean-Marie, le géant, qui menait l’opération, il avait au bout d’une pince de bois un bourdon qu’il maintenait pour le présenter à mon clitoris, immobilisé par ma promesse et surtout par « gros bourdon », l’insecte frôlait ...