Sophie et les abeilles (1)
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... comme il n’y avait pas d’eau, j’acceptais de boire du vin directement au goulot de la bouteille, c’était frais et bon, j’en abusais.
L’après-midi était consacré à la recherche d’un essaim et nous avons marché longtemps avant d’en trouver un assez important pour remplir la niche que nous avions terminée dans l’arbre mort. Il fallait passer nos combinaisons de « cosmonautes » avec la fenêtre grillagée (comme une burka blanche), qui nous protégeaient des piqûres d’abeilles. Jean Marie me faisait mettre nue, pour une meilleure protection, disait-il.
Assez curieusement, il ne cherchait pas à me toucher, mais multipliait les occasions de me mettre à poil. Il fallait enfumer les abeilles et les faire tomber dans un grand sac en toile pour les emmener dans l’arbre mort. Il ne fallait pas perdre de temps et pouvoir identifier s’il y avait bien une reine dans toutes les abeilles de l’essaim. Nous retirions nos protections, ce qui n’était pas du luxe, car il faisait très chaud là-dedans. Du coup, il désirait que je reste nue pour assurer l’ensemencement de la ruche. Je n’y comprenais pas grand-chose, les effets de l’alcool du midi aidant, et vu la chaleur j’acceptais de rester à poil. Nous marchions jusqu’à l’arbre, pas très fière de pouvoir rencontrer des gens, mais enfin libre dans mon corps. Arrivé à l’arbre, Jean-Marie y déposait les abeilles.
Il me demandait de sortir sa bite pour le baptême (c’était devenu une habitude !). Je devais le masturber pour que sa semence ...
... nourrisse la reine et donne du miel. C’était, paraît-il, le secret des apiculteurs pour conjurer le mauvais sort. Une sorte de rituel, de messe expiatoire. Devant mon hésitation, il dit que normalement, ça doit être fait par une main vierge, mais qu’au vu de mon inexpérience, je ferais l’affaire. Piquée au vif, je m’exécutais malgré le grand jour et la pleine nature.
Je n’avais fait l’amour que dans le noir et je n’avais jamais vu une masturbation que j’avais faite ni le sperme sortir. Jean-Marie était debout et le sexe dirigé vers l’arbre, je m’étais mise à genoux et faisais aller ma main de son ventre vers le bout de sa bite. J’avais automatiquement placé ma seconde main sous ses couilles que je caressais.
— Accélère voyons, tu vas tout faire rater.
Vus de l’extérieur, nous devions présenter un tableau peu banal, moi la petite jeune fille entièrement nue à genoux et lui, le géant velu, bite à l’air en train de se faire branler pour jeter son sperme sur l’essaim d’abeilles.
Les poils de ses couilles étaient drus et je m’étonnais qu’il ne se rase pas, je l’astiquais du mieux que je pouvais, mon bras droit me faisait mal et je changeais de main.
— Mets-y les deux mains si tu veux.
C’est vrai que c’était plus commode de cette façon, la peau glissait bien et faisait un bruit d’eau qui glisse, j’accélérais le mouvement et je regardais Jean-Marie dans les yeux. Il était rouge et ses yeux mi-clos battaient la chamade. Son corps s’arc-boutait, il lançait son ventre en ...