1. Sophie et les abeilles (1)


    Datte: 08/05/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... bébé avec comme bruit de fond, le crépitement du feu et la bonne odeur du bois qui brûle.
    
    C’est l’odeur du café qui me réveillait, par la fenêtre, je voyais qu’il faisait encore nuit, aucune pendule dans la maison pour savoir l’heure qu’il était.
    
    — Allez ouste, petite feignante, debout, petit-déjeuner et au boulot.
    
    J’avais dormie nue bien au chaud sous la couette.-« Viens déjeuner comme tu es, pas de temps pour la frime ».
    
    Pour lui, les vêtements étaient de la ‘’frime’, ’drôle de conception vestimentaire. Je déjeunais donc nue, mes tétines pointaient, lui était déjà habillé.
    
    Le petit-déjeuner avalé, pas de passage à la douche, pas de brossage de dents, directement le treillis (pantalon et veste), pas de slip, pas de soutien-gorge, des chaussettes, un tee-shirt et ma paire de rangers (un peu trop grande).
    
    De la dépendance à côté de la maison, il sortait un quad et chargeait des outils dans la remorque. Il me portait pour me le faire enfourcher, il montait devant moi et nous montions la montagne en passant entre les sapins pour atteindre une petite clairière en hauteur, je m’accrochais à sa taille avec mes deux bras pour ne pas basculer par-dessus bord, c’était chaud.
    
    Le travail consistait à creuser des troncs d’arbres mort, mais encore debout, pour faire des cavités, afin que les abeilles puissent y vivre et faire du miel. Des ruches naturelles en sorte. Celle sur laquelle nous travaillons était presque terminée et j’étais en charge de bien gratter ...
    ... l’intérieur pour qu’il soit le plus lisse possible.
    
    Jean-Marie couvrait d’un mélange de cire et de goudron à l’extérieur les interstices du bois pour rendre la ruche étanche.
    
    — J’ai envie de pisser. Sophie, sors ma bite, j’ai les mains prises.
    
    J’étais effarée par la demande et restais sans voix.
    
    — Grouille, je vais me faire dessus.
    
    Le ton péremptoire avait raison de moi et j’entreprenais de déboutonner le pantalon de treillis, bouton après bouton, il n’avait pas de slip non plus. J’attrapais sa bite et la tirais de la braguette, elle était raide et j’avais toutes les peines du monde à la plier pour la sortir. Je terminais pas l’extraire, elle mesurait au moins 25 centimètres, je m’extasiais en la regardant.
    
    — Dirige vers le sapin où tu vas prendre une douche.
    
    Je sentais la chair palpiter sous ma main et l’urine courir et finir en jet que je dirigeais tant bien que mal en retroussant la peau sur le gland. Au final, je la tenais à deux mains. Jean-Marie faisait exprès de la bouger, elle était vivante entre mes mains. J’adorais ça.
    
    — Secoue-la bien, sinon je vais tremper mon pantalon !
    
    Je faisais aller le prépuce de bas en haut de son sexe d’une main tremblante pour faire sortir les dernières gouttes, ce qui avait pour effet de la durcir encore davantage. Je n’avais jamais vu un homme uriner et j’étais fascinée par cette petite fente au bout par où s’échappait le liquide chaud.
    
    Le midi, nous cassions la croûte, Jean-Marie avait préparé ce qu’il fallait et ...
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