1. Les aventures de Françoise (2)


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... n'aurait jamais imaginés venant de sa tante. Enfoncé entre ses grosses fesses, son partenaire délivrait ses derniers coups de reins, le sourire en banane, visiblement ravi d'avoir honoré un cul de blanche aussi somptueux. Il ne restait plus aux deux cousines que de chercher leurs vêtements à tâtons et de se glisser discrètement en dehors de la pièce où d'autres couples s'ébattaient encore.
    
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    Sur le chemin du retour, dans la voiture que Françoise conduisait, celle-ci lâcha à Agnès :
    
    - On a complètement pété les plombs ce soir. Je te jure que ce n'était pas prévu. J'espère que tu ne m'en veux pas trop.
    
    - Tu m'as mise dans un sacré pétrin. Je ne sais pas ce que je vais raconter à Olivier, répondit Agnès.
    
    - Malheureuse, rien surtout ! Secret défense. Cela restera strictement entre nous, cette histoire.
    
    - Heureusement, les gars avaient des capotes, on ne risque pas une MST.
    
    - C'est déjà ça. Bon, cela dit, ne noircissons pas trop le tableau. J'ai pris mon pied et toi aussi, non ? Je t'ai entendu gueuler "oui oui encore encore"...
    
    - Bon, ça va. Moi au moins, je n'ai pas été vulgaire comme toi. Je n'aurais jamais cru que tu aies pu être aussi cochonne. J'en rougissais presque.
    
    - Que veux-tu, quand je baise, je me lâche. Et il faut reconnaitre que les Blacks sont de somptueux baiseurs. Je n'avais jamais joui comme ça depuis... je ne sais pas quand. C'était peut-être du sexe sans amour, mais quel sexe ...
    ... ! J'adore les grosses bites et quand en plus elles mitraillent, quel pied. Je me suis sentie rajeunir de vingt ans. Cela fait du bien d'être honorée par un beau mec à notre âge, non ?
    
    - Je n'en disconviens pas. J'ai complètement perdu les pédales. Je ne pensais plus à rien d'autre que de me faire tringler. C'est troublant quand on y pense, cela prouve l'animalité qui est en nous. Et à quel point nous pouvons être dépendante d'une bite quand elle est bien portée. J'espère que la prochaine fois que je ferai l'amour avec Olivier, je ne m'ennuierai pas.
    
    - C'est vrai que quand je t'ai vue prise par deux mecs à la fois, je me suis demandée si c'était bien toi. Tu m'as épatée, ma cousine
    
    - Et toi donc, grosse salope que tu es. Ou plutôt que tu es devenue.
    
    - J'en ai bien peur. Comme toi, il va me falloir gérer maintenant mon petit mari bien sage. J'espère qu'il va continuer à me laisser sortir. Mais plus de partouze, non, ça va comme ça.
    
    - Moi non plus. J'aurais vécu ça une fois dans ma vie, ça suffit.
    
    - Fais l'amour à Olivier en rentrant, ça te remettra dans le droit chemin.
    
    - Bonne idée, d'autant que je suis encore en feu. Et toi ?
    
    - Oh moi, je vais me coucher bien sagement, je suis crevée, ce n'est plus de mon âge, ces fredaines. Tiens, on est arrivées chez toi. Allez, je te laisse, bisous ma grande.
    
    Et les deux femmes se séparèrent, bien décidées (en apparence) à reprendre leur vie rangée.
    
    (A suivre) 
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