1. Les aventures de Françoise (2)


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... jour là une jupe assez courte et quand l'homme glissa sa main entre ses cuisses, il découvrit une humidité prometteuse et contradictoire avec l'attitude rétive de sa cavalière. Il insista donc, s'insinua dans le slip, trouva la fente puis le clitoris, introduisit sans trop de résistance son doigt dans le déduit et Agnès gémit un "non, non" qui était en fait un oui. Elle pensa fugitivement à son mari Olivier qui lui avait accordé sa permission de sortie pour un dîner au restaurant avec sa cousine. Et elle était sur le point de succomber à un accouplement interracial. Mais elle pouvait encore s'enfuir, il suffisait que Françoise revienne à la raison.
    
    Or, à quelques centimètres, elle était maintenant à quatre pattes et se faisait prendre en levrette par son cavalier qui lui assénait de grands coups de bite et faisait trembler ses gros nichons. Elle se léchait les lèvres en agitant son bassin, montrant par là à quel point elle adhérait à cet accouplement imprévu. Mieux, elle glissa sa main entre ses jambes pour aller chercher les couilles ballottantes de son baiseur qui rayonnait d'avoir trouvé une aussi bonne affaire. Fascinée, Agnès ne s'aperçut même pas que son cavalier avait prestement dégrafé son soutien-gorge et déboutonné son chemisier, laissait ses seins à l'air. Lorsqu'il en prit un pour en sucer la pointe, elle craqua. C'était son point faible et il l'avait trouvé, ce cochon. A son tour, inspirée par sa cousine, elle chercha les couilles de son cavalier qui s'était ...
    ... déboutonné pour libérer son membre en fusion. Elle suffoqua devant son volume. Quelle bite ! Elle s'accroupit et engloutit le gland, sidérée par sa propre audace mais une audace venant du fond de sa matrice en ébullition. L'homme savoura cette succion délicate puis la fit basculer sur le dos à quelques centimètres d'un couple africain qui forniquait avec enthousiasme. Il acheva de dévêtir Agnès, se recouvrit d'un préservatif et la pénétra lentement en missionnaire pour qu'elle puisse prendre la mesure de son volume. Agnès disposait comme sa tante d'un vagin large et une fois l'introduction acceptée, l'épaisseur et la longueur du membre de l'Africain creusant son intimité lui procurèrent un plaisir inédit. Elle jappa, ondula, lui griffa les flancs puis les fesses, bref baisa sans retenue. Elle entendit Françoise couiner à côté d'elle et s'aperçut qu'elle cavalait ses gros nichons en bataille sur un jeune Noir qui n'était pas son premier amant.
    
    Cette vision de sa tante la stimula et Agnès accepta de se faire prendre en levrette tout en suçant une autre bite au propriétaire non identifiable mais parfaitement Noir lui aussi. Elle ne s'appartenait plus vraiment et seule comptait désormais la bite puissante qui s'activait en elle et la conduisait vers un orgasme imparable. Sa jouissance fut intense, inouïe, sans précédent. C'était du sexe, rien que du sexe, mais quel sexe ! Presqu'au même moment, Françoise explosait elle aussi mais avec un accompagnement de mots crus qu'Agnès ...