1. Les aventures de Françoise (2)


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    Françoise, femme mûre et mariée, s'était découvert sur le tard des envies de libertinage plus ou moins bien assumées (voir précédent épisode). Mais une expérience un peu déroutante l'avait incitée à plus de prudence. Elle continuerait à sortir mais plus avec son amie Mireille qui l'entrainait un peu facilement dans des traquenards comme cette boite de nuit où elle avait un peu trop picolé au point d'accompagner un mec nettement plus jeune qu'elle dans son lit... sans s'en être rappelé le lendemain.
    
    Elle sollicita donc sa cousine Agnès, qui n'avait que dix ans de moins qu'elle, pour une simple sortie au restaurant. Toutes deux s'entendaient parfaitement et se faisaient des confidences. Agnès, en fin de quarantaine, petite aux formes pleines, aux cheveux prématurément blanchis, mariée et mère de famille épanouie, était du genre bonne vivante aimant la vie. Comme Françoise. Aussi accepta-t-elle avec enthousiasme la proposition de ce dîner dans un restaurant sénégalais propre à les dépayser visuellement, culturellement et culinairement. Le patron, surnommé Boubou, les accueillit avec une cérémonie toute africaine. Les plats étaient épicés, Françoise et Agnès se régalaient et l'aînée, émoustillée, raconta à sa cousine son aventure dans la boîte de nuit et la suite qui en était résulté. Agnès rigola franchement :
    
    - Ce qui est dommage, c'est que tu te sois fait sauter sans que tu t'en souviennes. Tu ne sais même pas si tu as pris ton pied.
    
    - Il parait que oui mais dis-moi, ...
    ... ça ne te choque pas ?
    
    - C'est ton affaire, je me garderais bien de te juger.
    
    - Tu es adorable. J'ai eu une grosse pulsion, je crois que ce soir là, j'avais vraiment envie de me faire baiser. Tu ne ressens pas ça, parfois ?
    
    - Bien sûr que si mais je me suis toujours maîtrisée. Olivier (son mari) me suffit quand je ressens ce que tu appelles des pulsions.
    
    - Tu as de la chance. Gérard ne peut plus, ou si peu. Mais moi, j'ai encore envie. Et aussi curieux que cela puisse paraitre, avec mon gros cul, mes gros seins et mes grosses cuisses, je suscite encore du désir de la part d'hommes plus jeunes, j'en ai eu souvent la preuve et pas seulement dans ce fameux soir en boite. On me trouve un corps à la Rubens, c'est flatteur non ?
    
    - C'est sûr. Tu m'épates, à côté, j'ai l'impression d'être un vieux tromblon.
    
    - Tu sais qu'avec Gérard, on est naturistes depuis longtemps. Eh bien, un jour, je suis allée à la plage avec mes deux petites filles adolescentes. Nous sommes allées sur une portion réservée aux naturistes mais elles ont voulu garder leur bikini malgré la présence de tous les nus autour. La jeunesse n'est plus ce qu'elle était mais passons. On a marché sur la plage toutes les trois et crois-moi si tu veux mais celle que les hommes regardaient, c'était moi qui étais à poil. Il y en a même un, pas mal du tout, mûr mais gaillard, qui m'a abordée pour discuter de tout et de rien mais il était clair qu'il voulait me baiser dans le bois voisin. Les deux gamines étaient ...
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